| 1865 - 1084 pages
...l'heure du sommeil, j'avais coutume de me promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Théodore Jouffroy - 1842 - 514 pages
...promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...de couche en couche descendait vers le fond de ma conscience,et, dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé... | |
| 1842 - 648 pages
...ne m'en apercevais pas; je suivois avec anxiété ma pensée , qui (le couche en couche descendoil vers le fond de ma conscience , et , dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, m'en rendoit demoment en momentles détours plus visibles.... | |
| Marie-Stanislas Rattier - 1843 - 482 pages
...l'heure du sommeil j'avais coutume de me promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Pierre Leroux - 1843 - 166 pages
...dit $ommeil, j'avais coutume de me » promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, » qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre » toutes les illusions qui m'en avaient jusque là dérobé la vue, » m'en rendait de moment en moment les détours plus... | |
| Théodore Combalot - 1844 - 208 pages
...promener; je vois encore cette lune à demi-voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalle les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...ne m'en apercevais pas ; je suivais avec anxiété m .1 pensée qui de couche en couche descendait vers le foud de rua conscience, et, dissipant l'une... | |
| Dictionnaire - 1847 - 1326 pages
...l'heure du sommeil, j'avais coutume de me promener; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Adolphe Franck - 1847 - 666 pages
...l'heure du sommeil , j'avais coutume de me promener ; je vois encore celte lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Adolphe Franck - 1847 - 672 pages
...l'heure du sommeil , j'avais coutume de me promener ; je vois encore cette lune à demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue, m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
| Adolphe Franck - 1847 - 672 pages
...promener ; je vois encore celte lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par inter\alles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient,...dissipant l'une après l'autre toutes les illusions qui m'en avaient jusque-là dérobé la vue. m'en rendait de moment en moment les détours plus visibles.... | |
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