 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1791 - 600 pages
...ville entiere. C'est qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être...occupé de soi et de sa délicatesse ; c'est qu'on ne mene point une vie simple, pauvre, active et courageuse. De là vient, dans les maisons qui devraient... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1791 - 596 pages
...ville entiere. C'est qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être...occupé de soi et de sa délicatesse ; c'est qu'on ne mene point une vie simple , pauvre, active et courageuse. De là vient, dans les maisons qui devroient... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 472 pages
...d'une ville entière. C'est qu'on a le loisir de s'écouter soimême dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être...Le fantôme de communauté sert de prétexte pour couvrir tout : comme si la communauté étoit autre chose que l'assemblage des particuliers qui ont... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 514 pages
...d'une ville entière. C'est qu'on aie loisir pour s'écouter soi-même dans ces moindres infirmités 5 c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être toujours occupé de soi et de sa d«-li<:at%M; ; c'est qu'on ne mène point une vie »impie , pauvre , active et courageuse. De là... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 504 pages
...d'une ville entière. C'est qu'on a le loisir de s'écouter soimême dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être...Le fantôme de communauté sert de prétexte pour couvrir tout : comme si la communauté étoit autre chose que l'assemblage des particuliers qui ont... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1823 - 596 pages
...qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans ses moindres infirmités; c'est qu'on a le Iqisirde les prévenir, d'être toujours occupé de soi* et...Le fantôme de communauté sert de prétexte pour couvrir tout : comme si la communauté étoit autre chose que l'assemblage des particuliers qui ont... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1823 - 596 pages
...pour s'éco'uter soi-même dans ses moindres infirmités; c'est qu'on a le loisir de les prévenïr, d'être toujours occupé de soi et de sa délicatesse;...Le fantôme de communauté sert de prétexte pour couvrir tout : comme si la communauté ét oit autre chose que l'assemblage des particuliers qui ont... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1835 - 764 pages
...ville entière. C'est qu'on est de loisir pour s'écouler soi-même dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être toujours occupé de soi etde sa délicatesse; c'est qu'on ne mène point une viesimple, pauvre, active el courageuse. De là... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1836 - 690 pages
...ville entière. C'est qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans les moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir , d'être...dans les maisons qui devroient être pauvres, une apreté scandaleuse pour l'intérêt : le fantôme de communauté sert de prétexte pour le couvrir... | |
 | Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 836 pages
...ville entière. C'est qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans les moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être...et courageuse. De là vient , dans les maisons qui devraient être pauvres, une âpreté scandaleuse pour l'intérêt : le fantôme de communauté sert... | |
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C'est qu'on est de loisir pour s'écouter soi-même dans ses moindres infirmités ; c'est qu'on a le loisir de les prévenir, d'être toujours occupé de soi et de sa délicatesse ; c'est qu'on ne mène point une vie simple, pauvre , active et courageuse.... 
