| Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1772 - 506 pages
...faner entre Tes mains du matin au fbir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant : enchantement. Toujours entraîné, tu approches du gouffre affreux : déjà tout commence à s'effacer ; les jardins moins fleuris, les fleurs moins brillantes , 'leurs couleurs moins vives , lès prairies... | |
| Jean-Sifrein Maury - 1810 - 570 pages
...voit tomber der» rière soi tout ce qu'on avoit passé : fracas » effroyable , inévitable ruine ! On se console, » parce qu'on emporte quelques fleurs...les goûtant : enchantement! » illusion! toujours entraîne, tu approches du » gouffre affreux : déjà tout commence à s'effa» cer ; les jardins... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 712 pages
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit passé; fracas effroyable, inévitable ruine. On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les gontant : enchantement. Toujours entraîné, tu approches du gouffre... | |
| Jacques Saurin - 1824 - 642 pages
...cependant , on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit passé. Fracas effroyable, inévitable ruine ! on se console , parce qu'on emporte quelques fleurs...gouffre affreux; déjà tout commence à s'effacer ; les jardins sont moins fleuris , les fleurs moins brillantes , leurs couleurs moins vives, les prairies... | |
| 1826 - 472 pages
...voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit passé. : » fracas effroyable, inévitable ruine. » On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...du matin au soir, et quelques fruits qu'on perd en lus . • goûtant : enchantement ! illusion ? Toujours entraîné, » tu approches du gouffre affreux... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 436 pages
...voit tomber derrière soi tout « ce qu'on avoit passé ; fracas effroyable!' « inévitable ruine ! On se console , parce « qu'on emporte quelques fleurs...au soir , et quelques fruits « qu'on' perd en les- goûtani ; enchante « ment ! illusion ! Toujours entraîné , tu « approches du gouffre affreux :... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 650 pages
...voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit « passé : fracas effroyable ! inévitable ruine ! « On se console, parce qu'on emporte quelques « fleurs cueillies en passant, qu'on voit se fa« ner entre ses mains du matin au soir, et quel« ques fruits qu'on perd en les goûtant : en«... | |
| Jean Siffrein Maury (card.) - 1827 - 510 pages
...voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit « passé : fracas effroyable ! inévitable ruine ! « On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs cueillies en passant, qu'on voit se faw ner entre ses mains du matin au soir, et quel« ques fruits qu'on perd en les goûtant : en« chantement!... | |
| 1835 - 344 pages
...cependant on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avoit passé ; fracas effroyable, inévitable ruine ! On se console parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir, quelques fruits qu'on perd en les goûtant Enchantement ! toujours entraîné, tu approches du gouffre.... | |
| C Victor Martin - 1837 - 332 pages
....iint on voit tomber derrière soi tout ce qu'on avait passé ; fracas effroyable, inévitable ruine ! On se console, parce qu'on emporte quelques fleurs...qu'on voit se faner entre ses mains du matin au soir ; quelques fruits qu'on perd en les goûtant : enchantement ! toujours entrainé, on approche du gouffre:... | |
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