Analyse et synthése ...G. Masson, 1888 - 584 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 81
Page 27
... les philosophes , les mathématiciens , les astronomes , les médecins , en même temps que les poètes de l'Inde ; mais leur science , surtout dans les temps antiques , tant qu'ils n'ont pas été en contact avec les Européens , est INDIENS .
... les philosophes , les mathématiciens , les astronomes , les médecins , en même temps que les poètes de l'Inde ; mais leur science , surtout dans les temps antiques , tant qu'ils n'ont pas été en contact avec les Européens , est INDIENS .
Page 33
... science religieuse pure . Les brahmanes les admettaient , mais elles dépassaient l'intelligence des masses ; aussi , malgré ses savants sectateurs , Brahma fut - il vite éclipsé par un dieu dans lequel se concen- trait plus ...
... science religieuse pure . Les brahmanes les admettaient , mais elles dépassaient l'intelligence des masses ; aussi , malgré ses savants sectateurs , Brahma fut - il vite éclipsé par un dieu dans lequel se concen- trait plus ...
Page 36
... science et la vertu ; voilà les mérites qui ne se dissipent pas . Faire un peu de bien vaut mieux que d'accomplir des œuvres diffi- ciles . Si l'on voulait comprendre combien est grand le fruit des aumônes , on ne mangerait pas sa der ...
... science et la vertu ; voilà les mérites qui ne se dissipent pas . Faire un peu de bien vaut mieux que d'accomplir des œuvres diffi- ciles . Si l'on voulait comprendre combien est grand le fruit des aumônes , on ne mangerait pas sa der ...
Page 48
... science de prédilection des Chinois . Hoang - Ti créa un collège d'astronomes , dans lequel il reconnut la sphéricité de la terre ; on régla les limites des saisons et on forma un calendrier . Bien que par la suite , dans cette branche ...
... science de prédilection des Chinois . Hoang - Ti créa un collège d'astronomes , dans lequel il reconnut la sphéricité de la terre ; on régla les limites des saisons et on forma un calendrier . Bien que par la suite , dans cette branche ...
Page 59
... science de la morale , dans son acception la plus élevée , consistait , dit M. Pauthier , à connaître et à distinguer les causes et les effets , les principes et les conséquences , parce que tout est lié dans la nature , que tout se ...
... science de la morale , dans son acception la plus élevée , consistait , dit M. Pauthier , à connaître et à distinguer les causes et les effets , les principes et les conséquences , parce que tout est lié dans la nature , que tout se ...
Common terms and phrases
Abbassides absolument Arabes aristocratie Aristote arriva Aryas aryenne avaient barbares BARBIE DU BOCAGE base BOCAGE bouddhisme brahmanes c'est-à-dire chefs chercher Chine Chinois chose chrétienne civilisation clergé commencement Confucius constitution côté Créateur créer Danube devait développement Dieu dieux divine doctrine donner Dravidiens Égypte empereurs empire époque état Étrusques famille firent force François Ier Gaule générale gloire gouvernement Grecs guerres hommes humaine Huns Ibères idées immense intelli intelligence invasions Japon Kouschites l'âme l'Église l'empire l'Europe l'histoire l'homme l'humanité l'Inde l'Italie l'Occident l'Orient laissé Lao-Tseu lois lutter Mahomet masses matérialisme ment mer Égée monde Mongols morale Moyen Age nation nord Occident œuvre passé pays Pélages péninsule pensée période peuples philosophie politique populations pousser premier presque progrès puissance race raison religieux religion reste résultat rien Romains Rome science serait seul Sicanes siècle sorte souverain spiritualité suite suprême surtout territoire théorie Tiers État tion tique tribus trouve vérité Wisigoths Yémen
Popular passages
Page 249 - Et moi je vous dis : Aimez vos ennemis, faites du bien à ceux qui vous haïssent...
Page 469 - Qu'on me montre un autre animal sur la terre qui sache faire usage du feu, et qui sache admirer le soleil. Quoi ! je puis observer, connaître les êtres et leurs rapports ; je puis sentir ce que c'est qu'ordre, beauté, vertu ; je puis contempler l'univers, m'élever à...
Page 159 - Ne parlons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d'un nom dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est hasard à l'égard de nos conseils incertains, est un dessein concerté dans un conseil plus haut, c'està-dire dans ce conseil éternel qui renferme toutes les causes et tous les effets dans un même ordre.
Page 419 - De l'oiseau qui fend les mers, Ou de la flèche rapide Qui, loin de l'œil qui la guide, Cherche l'oiseau dans les airs. De la Sagesse immortelle La voix tonne et nous instruit : « Enfants des hommes, dit-elle, De vos soins quel est le...
Page 464 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 489 - Tout être organisé forme un ensemble, un système unique et clos, dont les parties se correspondent mutuellement, et concourent à la même action définitive par une réaction réciproque. Aucune de ces parties ne peut changer sans que les autres changent aussi, et par conséquent chacune d'elles, prise séparément, indique et donne toutes les autres.
Page 529 - Plus que jamais, messieurs, nous devons nous occuper de ces hautes spéculations, car il faut nous tenir prêts pour un événement immense dans l'ordre divin, vers lequel nous marchons avec une vitesse accélérée qui doit frapper tous les observateurs.
Page 247 - Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, parce que le royaume des Cieux est à eux ! etc.
Page 529 - Allez, honneurs, plaisirs, qui me livrez la guerre : Toute votre félicité, Sujette à l'instabilité, En moins de rien tombe par terre; Et comme elle a l'éclat du verre, Elle en a la fragilité.
Page 252 - Consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous : 17. l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point, et qu'il ne le connaît point. Mais pour vous , vous le connaîtrez , parce qu'il demeurera avec vous, et qu'il sera en vous.