| Jean-Sifrein Maury - 1810 - 570 pages
...» les prairies moins riantes, les eaux moins » claires : tout se ternit, tout s'efface. I/ombre » de la Mort se présente : on commence à » sentir...un pas : déjà » l'horreur trouble les sens, la tète tourne, » les yeux s'égarent. Il faut marcher; on vou» droit retourner en arrière ; plus... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1816 - 712 pages
...jardins moins fleuris, les fleurs moins brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairies moins riantes, les eaux moins claires; tout se ternit, tout...tourne, les yeux [s'égarent; ] il faut marcher. [On voudroit retourner] en arrière ; plus de moyen : tout est tombé, tout est évanoui, tout est échappé.... | |
| Gabriel Peignot - 1824 - 310 pages
...jardins moins fleuris, les fleurs moins brillantes , leurs couleurs moins vives , les prairies moins riantes , les eaux moins claires ; tout se ternit...les sens , la tête tourne , les yeux s'égarent. 11 faut marcher ; on voudroit retourner en arrière ; plus de moyens : tout est tombé , tout est évanoui... | |
| Gabriel Peignot - 1824 - 302 pages
...prairies moins riantes , les eaux moins claires 5 tout se ternit, tout s'efface. L'ombre de lamort se présente: on commence à sentir l'approche du...les sens , la tête tourne , les yeux s'égarent. 11 faut marcher ; on voudroit retourner en arrière ; plus de moyens : tout est tombé , tout est évanoui... | |
| Jacques Saurin - 1824 - 642 pages
...jardins sont moins fleuris , les fleurs moins brillantes , leurs couleurs moins vives, les prairies moins riantes, les eaux moins claires ; tout se ternit, tout s'efface. L'ombre de la mort se présente ; OH commence à sentir l'approche du gouffre fatal. Mais il faut aller sur le bord ; encore un pas... | |
| 1826 - 472 pages
...pairies moins. » brillantes > les eaux moins claîres; tout se ternit, tout » s'efface. L'ombre de Ia mort se présente; on commence » à sentir l'approche...tourne, les yeux s'égarent : il faut marcher. .On » voudroit retourner en arrière : plus de moyen ; tout est » tombé , tout est évanoui , tout est... | |
| Jean Siffrein Maury (card.) - 1827 - 510 pages
...ternit, tout s'efL'ombre de la mort se présente : oin lence à sentir l'approche du gouffre faMais il faut aller sur le bord. Encore un « pas : déjà l'horreur trouble les sens, la (éte « tourne, les yeux s'égarent. Il faut marcher; « on voudroit retourner en arrière; plus de... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 650 pages
...moins vives, les prairies moins riantes, les « eaux moins claires : tout se ternit, tout s'ef« face. L'ombre de la mort se présente : on « commence à sentir l'approche du gouffre fa« tal. Mais il faut aller sur le bord. Encore un « pas : déjà l'horreur trouble les sens, la... | |
| Jean Siffrein Maury - 1827 - 436 pages
...proche du gouffre fatal. Mais il faftit aller « sur le, bord. Encore un pas : déjà l'hor« reur trouble les sens , la tête tourne , les « yeux s'égarent. Il faut marcher , on vou« droit retourner en arrière ; plus de « moyens : tout est. tombé , tout est éva« noui , tout... | |
| 1835 - 344 pages
...jardins moins fleuris, les fleurs moins brillantes, leurs couleurs moins vives, les prairies moins riantes, les eaux moins claires, tout se ternit, tout...il faut marcher. On voudrait retourner en arrière, plut de moyen ; c tout est tombé, tout est évanoui, tout est échappé. BOSSUET. L'OMBRE DE FABRIC1US... | |
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