| George Sand - 1838 - 648 pages
...étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits comme une mince echarpe d'azur semée de paillettes d'argent. Le murmure de...triste et de tendre était répandu dans l'air et soupirail dans les plantes. Je pensais à la veillée du Christ dans le jardin des Olives, et je me... | |
| George Sand - 1838 - 608 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures , étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits comme une mince écharpe...d'azur semée de paillettes d'argent. Le murmure de la Brouta, un dernier gémissement du vent dans le feuillage lourd des oliviers , des gouttes de pluie... | |
| George Sand - 1857 - 652 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes , d'où l'on aperçoit la nuit étendue au-dessus des toits, comme une mince écharpe...triste et de tendre, était répandu dans l'air et soupirail dans les plantes. Je pensais à la veillée du Christ dans le jardin des Olives , et je me... | |
| George Sand - 1869 - 364 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la mirt étendue au-dessus des toits, comme une mince écharpe...triste et de tendre, était répandu dans l'air et soupirail dans les plantes. Je pensais à la veillée du Christ dans le jardin des Olives , et je me... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 430 pages
...nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. 15 Le murmure de la Brenta, un dernier gémissement du...ressemblait à celui d'un baiser, je ne sais quoi de 20 triste et de tendre, était répandu dans l'air et soupirait dans les plantes. Je pensais à la... | |
| Thomas Frederick CRANE - 1886 - 428 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. 15 Le murmure de la Brenta, un dernier gémissement du vent dans le feuillage lourd des oliviers, des... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 430 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. 15 Le murmure de la Brenta, un dernier gémissement du vent dans le feuillage lourd des oliviers, des... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 438 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. 15 Le murmure de la Brenta, un dernier gémissement du vent dans le feuillage lourd des oliviers, des... | |
| Thomas Frederick Crane - 1886 - 428 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. 15 Le murmure de la Brenta, un dernier gémissement du vent dans le feuillage lourd des oliviers, des... | |
| 1895 - 800 pages
...nous marchions le soir dans ces rues obscures, étroites et profondes, d'où l'on aperçoit la nuit étendue audessus des toits, comme une mince écharpe d'azur semée de paillettes d'argent. (d) Déjà plus d'une feuille sèche Parsème les gazons jaunis; Soir et matin, la brise est fraîche,... | |
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