| Victor Donatien de Musset (called Musset-Pathay), Victor-Donatien Musset-Pathay - 1821 - 564 pages
...jeune personne , et probablement sa beauté , attirant tous les regards , le firent recon* naître. » leva la toile ; le spectacle commença. Je ne fus...à plusieurs reprises : enfin son » succès n'eut rien de douteux, îious sortîmes de la » loge. Rousseau me donna la main. Sa figure était » sombre... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 418 pages
...ironique et forcé. Cette réponse me blessa beaucoup ; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée; et, malgré mon peu d'expérience,...à plusieurs reprises ; enfin , son succès n'eut rien de douteux. Nous sortîmes de la loge. Rousseau me donna la main; sa figure étoit sombre à faire... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 420 pages
...ironique et forcé. Cette réponse me blessa beaucoup ; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée ; et, malgré mon peu d'expérience,...fus plus occupée que de la. pièce, qui réussit complétement. On \ 16 MÉMOIRES demanda l'auteur à plusieurs reprises; enfin, son succès n'eut rien... | |
| Stéphanie Félicité Brulart comtesse de Genlis - 1825 - 424 pages
...ironique et forcé. Cette réponse me blessa beaucoup ; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée; et, malgré mon peu d'expérience,...ne fus plus occupée que de la pièce, qui réussit complétement. Ondemanda l'auteur à plusieurs reprises ; enfin , son succès n'eut rien de douteux.... | |
| Stéphanie Félicité comtesse de Genlis - 1825 - 424 pages
...Cette réponse me blessa beaucoup; elle étoit d'une extrême injustice. J'étois fort troublée ; ét^ malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyois assez...flattai pourtant que ce singulier mouvement d'humeur se dissiperôit promptement, et je sentis que tout ce que j'avois de mieux à faire, étoit de n'avoir... | |
| Victor-Donatien Musset-Pathay - 1827 - 496 pages
...«d'humeur se dissiperait promptement , et je sen« tis que tout ce que j'avais de mieux à faire était « de n'avoir pas l'air de le remarquer. On leva la « toile ; le spectacle commença. Je ne fus plus oc« cupée que de la pièce , qui réussit complètece ment 2. On demanda l'auteur à plusieurs repri«... | |
| Victor Conatien de Mussett - 1827 - 508 pages
...d'humeur se dissiperait promptement, et je sen« lis que tout ce que j'avais de mieux à faire était <i de n'avoir pas l'air de le remarquer. On leva la « toile ; le spectacle commença. Je ne fus plus oc« cupée que de la pièce, qui réussit complète« ment a. On demanda l'auteur à plusieurs repri«... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 508 pages
...d'humeur se dissiperait promptement, et je sen« tis que tout ce que j'avais de mieux à faire était « de n'avoir pas l'air de le remarquer. On leva la « toile ; le spectacle commença. Je ne fus plus oc« cupée que de la pièce , qui réussit complète« ment 2. On demanda l'auteur à plusieurs repri«... | |
| 1878 - 488 pages
...d'une extrême injustice. J'étais fort troublée , et, malgré mon peu d'expérience , j'entrevoyais assez clairement la vérité. Je me flattai pourtant que ce singulier mouvement d'humeur se dissiperait promptement, et je sentis que tout ce que j'avais de mieux à faire était de n'avoir pas... | |
| 1878 - 584 pages
...d'une extrême injustice. J'étais fort troublée, et, malgré mon peu d'expérience, j'entrevoyais assez clairement la vérité. Je me flattai pourtant que ce singulier mouvement d'humeur se dissiperait promptement, et je sentis que tout ce que j'avais de mieux à faire était de n'avoir pas... | |
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