Eh bien 1 moi qui, par terreur de l'enfer, m'étais condamné à cette prison habitée par les serpents et les tigres, je me voyais, en imagination, transporté parmi les danses des vierges romaines. Mon visage était pâle de jeûnes, et mon corps brûlait... Saint Jérôme - Page 12by Augustin Largent - 1907 - 208 pagesFull view - About this book
| Abel François Villemain - 1827 - 582 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, » malgré ma résistance, mon corps heurtait contre » une terre nue. Eh bien ! moi qui , par terreur de » l'enfer, m'étais condamné à cette prison habitée » par les serpens et les tigres , je me voyais , en » imagination, transporté parmi les danses des » vierges... | |
| Villemain (M.) - 1827 - 510 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, » malgré ma résistance, mon corps heurtait contre » une terre nue. Eh bien ! moi qui , par terreur de » l'enfer, m'étais condamné à cette prison habitée » par les serpens et les tigres , je me voyais , en » imagination, transporté parmi les danses des » vierges... | |
| Abel François Villemain - 1827 - 508 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, » malgré ma résistance, mon corps heurtait contre » une terre nue. Eh bien ! moi qui , par terreur de » l'enfer, m'étais condamné à cette prison habitée » parles serpens et les tigres, je me voyais, en » imagination, transporté parmi les danses des... | |
| Villemain (M.) - 1828 - 512 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, » malgré ma résistance, mon corps heurtait contre » une terre nue. Eh bien ! moi qui , par terreur de » l'enfer, m'étais condamné à cette prison habitée » parles serpens et les tigres, je me voyais, en » imagination, transporté parmi les danses des... | |
| Jean Joseph F. Poujoulat - 1848 - 622 pages
...eux-mêmes boivent de l'eau froide, et regardent comme une sensualité de prendre quelque chose de cuit. Eh bien ! moi qui, par terreur de l'enfer, m'étais...à cette prison habitée par les scorpions et les bêtes farouches, je me voyais en imagination transporté parmi les danses des vierges romaines. Mon... | |
| Villemain (M., Abel-François) - 1857 - 604 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, « malgré ma résistance, mon corps heurtait contre une « terre nue. Eh bien! moi qui, par terreur de l'enfer, « m'étais condamné à cette prison habitée par les serai ponts et les tigres, je me voyais, en imagination, trans« porté parmi les danses des vierges... | |
| Abel-François Villemain - 1865 - 568 pages
...jour. Si le sommeil m'accablait, « malgré ma résistance, mon corps heurtait contre uni » terre nue. Eh bien ! moi qui, par terreur de l'enfer « m'étais condamné à cette prison habitée par les ser« pents et les tigres, je me voyais, en imagination, trans« porté parmi les danses des vierges... | |
| Jean-Marie-Sauveur Gorini - 1865 - 536 pages
...mêmes boivent de l'eau froide, et regardent comme une sensualité de prendre quelque chose (le cuit. Eh bien! moi, qui par terreur de l'enfer, m'étais condamné à cette prison où je n'avais pour compagnons que les scorpions et les bêles farouches , je voyais souvent tournoyer... | |
| Eugène Fialon - 1877 - 408 pages
...tenu parmi ces solitudes dévorées des feux du soleil, » je croyais assister aux délices de Rome ! Moi qui, par » terreur de l'enfer, m'étais condamné à cette prison » habitée par les serpents et les tigres, je me voyais en » imagination transporté parmi les danses des vierges »... | |
| Eugène Fialon - 1877 - 406 pages
...tenu parmi ces solitudes dévorées des feux dû soleil, » je croyais assister aux délices de Rome l Moi qui, par » terreur de l'enfer, m'étais condamné à cette prison » habitée par les serpents et les tigres, je me voyais en » imagination transporté parmi les danses des vierges »... | |
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