Dictionnaire de zoologie, ou, Histoire naturelle des quatre grands embranchements du règne animal, zoophytes, mollusques, articulés et vertébres, Volume 16Chez J.-P. Migne, editeur, 1853 |
Common terms and phrases
ailes animaux arbres Aristote assez Autruches azotés blanc bois branches Brésil brun Buffon Cailles Canards cap de Bonne-Espérance Caracara Carnassiers Casoar Cerf chair chasse chasseurs Chat Cheval Chien Condor corps côté couleur couvée Cuvier d'autres différentes doigts domestiques duvet Eléphants espèces estomac famille Faucon femelle forêts forme genre d'Oiseaux Girafe Guépard Guyane habite Héron Hirondelles individus Insectes jamais jambes Java jeunes jour jusqu'à l'Amérique l'animal l'eau l'Eléphant l'espèce l'homme l'Oiseau longueur lorsqu'il mâle Mammifères manger ment mouvements nature naturelle noir nombre non-seulement nord nourrit nourriture observé œufs Oiseaux ordinairement organes ornithologistes Paraguay paraît passer Passereaux pays peau pelage pendant pennes petits pieds plantes plumage plumes poils Poissons pouces premier presque proie qu'un quelquefois queue races remarquable rémiges reste Rongeurs saison sauvage seaux sent seul Singes soin sorte souvent sternum surtout taille terre tête tion troupes trouve Végétaux vertèbres vivent voit voix voyageurs Zoologie
Popular passages
Page 379 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 649 - Le triste hiver, saison de mort, est le temps du sommeil , ou plutôt de la torpeur de la nature ; les insectes sans vie , les reptiles sans mouvement , les végétaux sans verdure et sans accroissement , tous les habitants de l'air détruits ou relégués , ceux des eaux renfermés dans des prisons de glace , et la plupart des animaux terrestres confinés dans les cavernes , les antres et les terriers, tout nous présente les images de la langueur et de la dépopulation; mais le retour des oiseaux...
Page 379 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 385 - Un Arabe et sa tribu avaient attaqué dans le désert la caravane de Damas; la victoire était complète, et les Arabes étaient déjà occupés à charger leur riche butin, quand les cavaliers du pacha d'Acre, qui venaient à la rencontre de cette caravane, fondirent à l'improviste sur...
Page 507 - Aux avantages de la nature le cygne réunit ceux de la liberté ; il n'est pas du nombre de ces esclaves que nous puissions contraindre ou renfermer : libre sur nos eaux, il n'y séjourne, ne s'établit qu'en y jouissant d'assez d'indépendance pour exclure tout sentiment de servitude et de captivité ; il veut à son gré parcourir les eaux...
Page 387 - ... aux chevaux arabes, et l'animal était libre; mais voyant son maître blessé et enchaîné à ses pieds, le fidèle et intelligent coursier comprit, avec son instinct, ce qu'aucune langue ne pouvait lui expliquer; il baissa la tête, flaira...
Page 271 - ... c'est sur lui que roulent tous les travaux de la campagne, il est le domestique le plus utile de la ferme, le soutien du ménage champêtre, il fait toute la force de l'agriculture ; autrefois, il faisait toute la richesse des hommes, et aujourd'hui il est encore la base de l'opulence des États...
Page 361 - ... comme eux, ils savent couvrir leur marche, dissimuler leur dessein, épier les occasions, attendre, choisir, saisir l'instant de faire leur coup, se dérober ensuite au châtiment, fuir et demeurer éloignés jusqu'à ce qu'on les rappelle.
Page 153 - L'empereur lui-même lui servait de l'orge dorée , et lui présentait du vin dans une coupe d'or , où il avait bu le premier.
Page 505 - Les grâces de la figure, la beauté de la forme, répondent dans le cygne à la douceur du naturel ; il plaît à tous les yeux ; il décore, embellit tous les lieux qu'il fréquente ; on l'aime, on l'applaudit, on l'admire ; nulle espèce ne le mérite mieux. La nature, en effet, n'a répandu sur aucune autant de ces grâces nobles et douces qui nous rappellent l'idée de ses plus charmants ouvrages : coupe de corps élégante, formes arrondies...