...de mon esprit, cet aveuglement sur mes propres opinions pût longtemps subsister. « Je n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me...demi voilée par les nuages qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas;...

...de mon esprit, cet aveuglement sur mespropres opinions pût long- temps subsister. » Je n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me...demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas...

...esprit , cet aveu» gleinent sur mes propres opinions pût long-temps subsister. Je » n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me...à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré. J'en» tends encore mes pas dans cette chambre étroite et nue où, » long-temps après l'heure dit...

...méditatives de mon esprit, cet aveuglement sur mes propres opinions pût longtemps subsister. Je n'oublierai jamais la soirée de décembre, où le voile qui me...incrédulité fut déchiré. J'entends encore mes pas dans cetle chambre étroile et nue où, longtemps après l'heure du sommeil, j'avais coutumedeme promener;...

...d'angoisse le plus terrible peut-être de cette vie si tranquille : «Je n'oublierai jamais, dit-il, la soirée de décembre, où le voile qui me dérobait...demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas...

...d'angoisse le plusterrible peut-être de cette vie si tranquille : «Je n'oublierai jamais, dit-il, la soirée de décembre, où le voile qui me dérobait...demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas;...

...d'angoisse le plus terrible peut-ètre de celte vie si tranquille : «Je n'oublierai jamais, dit-il, la soirée de décembre, où le voile qui me dérobait...demi voilée par les nuages, qui en éclairait par intervalles les froids carreaux. Les heures de la nuit s'écoulaient, et je ne m'en apercevais pas...

...d'angoisse le plus terrible peutrétre de celte vie si tranquille : «Je n'oublierai jamais, dit-il, la soirée de décembre, où le voile qui me dérobait..., j'avais coutume de me promener ; je vois encore celte lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par intervalles les froids carreaux....

...tranquille : «Je n'oublierai jamais, dit-il, la soirée de décembre, où le voile qui me dérohait à moi-même ma propre incrédulité fut déchiré...., j'avais coutume de me promener ; je vois encore celte lune à demi voilée par les nuages , qui en éclairait par inter\alles les froids carreaux....

...crédulité qui les blessait profondément : mon cœur ii n'avait pu défendre ma raison. « Je n'oublierai jamais la soirée de décembre, où le » voile qui me dérobait à moi-même ma propre incré» dulité fut déchiré. J'entends encore mes pas dans cette » chambre étroite et nue, où...