De l'espèce et des races dans les êtres organisés et spécialement de l'unité de l'espèce humaine, Volume 2J. B. Baillière et fils, 1859 |
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Abyssinie albinos Alex Américains analogues animaux domestiques Araucanos australes Australiens basanée blancs Blumenbach brun Buffon caractères caucasien cheveux civilisation climat coloration conformation constaté couleur crâne cultivées culture Cuvier d'Orbigny Darfour David Low démontré développement différences distinctes distinguent Dumont d'Urville espèces d'Hommes Européens existe Flourens foncé forme franç fruits général générations graines habitants habitent Histoire du voyage Histoire naturelle Hommes Hottentots Humboldt Ibidem iles indigènes individus John Lander l'Académie des sciences l'Afrique l'albinisme l'Amérique Méridionale l'espèce humaine l'Océanie ment modifications mongole nations naturelle de l'Homme Nègres noirs nombreuses non-seulement observations offrent Olivier de Serres organes Patagons peau peuplades peuples physiologiques physique plantes Pôle Sud Polynésiens Pomologie présentent presque Prichard produit Quichuas race blanche races humaines rapport rendus de l'Académie reste Sageret saillie sauvages semis seul siècles Singes Société ethnologique souche suivant surtout taille teint tion trad tribus type variétés végétaux Voyage au Pôle Voyage dans l'Amérique Zoologie
Popular passages
Page 131 - Que la bête est une machine; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts: Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine, A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein. Ouvrez-la, lisez dans son sein; Mainte roue y tient lieu de tout l'esprit du monde; La première y meut la seconde.
Page 131 - Ils disent donc Que la bête est une machine; Qu'en elle tout se fait sans choix et par ressorts: Nul sentiment, point d'âme, en elle tout est corps. Telle est la montre qui chemine, A pas toujours égaux, aveugle et sans dessein.
Page 287 - Six ou sept dattes trempées dans du beurre fondu , quelque peu de lait doux ou caillé, suffisent à la journée d'un homme. Il se croit heureux, s'il y joint quelques pincées de farine grossière ou une boulette de riz. La chair...
Page 116 - Nos voyageurs font sans façon des bêtes sous les noms de pongos, de mandrills , d'orangs-outangs, de ces mêmes êtres dont, sous les noms de satyres, de faunes, de sylvains, les anciens faisaient des divinités. Peut-être, après des recherches plus exactes, trouvera-t-on que ce ne sont ni des bêtes ni des dieux , mais des hommes.
Page 365 - Histoire naturelle des races humaines du nord-est de l'Europe, de l'Asie boréale et orientale, et de l'Afrique australe...
Page 137 - ... de lui, il communique sa pensée par la parole. Ce signe est commun à toute l'espèce humaine : l'homme sauvage parle comme l'homme policé, et tous deux parlent naturellement, et parlent pour se faire entendre. Aucun des animaux n'a ce signe de la pensée. Ce n'est pas, comme on le croit communément, faute d'organes. La langue du singe a paru aux anatomistes aussi parfaite que celle de l'homme. Le singe...
Page 356 - Leur peau est brun foncé; leurs cheveux sont noirs, tant soit peu lanugineux , très-touffus; ils frisent naturellement, ce qui donne à la tête un volume énorme, surtout lorsque, négligeant de les relever et de les fixer en arrière, ils les laissent tomber sur le devant. Ils n'ont que peu de barbe, même les vieillards; elle est de couleur noire, ainsi que les sourcils, la moustache et les yeux.
Page 71 - ... avec les gramens , les chiendents et quelques autres herbes des prairies ; mais on ignore à laquelle de ces herbes on doit le rapporter : et comme il se renouvelle tous les ans, et que, servant de nourriture à l'homme , il...
Page 129 - ... et tous deux parlent naturellement, et parlent pour se faire entendre : aucun des animaux n'a ce signe de la pensée; ce n'est pas, comme on le croit communément, faute d'organes ; la langue du singe a paru aux anatomistes aussi parfaite que celle de l'homme, le singe parlerait donc s'il pensait...
Page 327 - Hollandais, d'Anglais, de Malais et de Chinois. Parmi les habitants d'origine européenne, les Portugais sont les plus nombreux. Ce sont, pour la plupart, les descendants des anciens conquérants de la Malaisie. Leurs pères furent les compagnons de Vasco de Gama et d'Albuquerque. Mais, semblables aux monuments qu'élevèrent leurs aïeux et qui couvrent le sol de leurs ruines, eux aussi ont été atteints par la dégradation et la vétusté. Au milieu de la population malaise avec laquelle ils se...