| Jacques Bénigne Bossuet (bp. of Meaux.) - 1805 - 780 pages
..., a été le peuple Romain. De tout cela s'est formé la meilleure milice , et la politique la pins prévoyante , la plus ferme , et la plus suivie qui...fut jamais. Le fond d'un Romain , pour ainsi parler , étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisoit aimer l'autre : car... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1805 - 470 pages
...laborieux, et enfinleplus patient , a été le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante , la plus ferme , et la plus suivie qui fut jamais. Le fonds d'un romain , pour ainsi parler , étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie : une de ces... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1818 - 598 pages
...laborieux, et enfin le plus patient, a été le peuple Romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus...fut jamais. Le fond d'un Romain , pour ainsi parler , étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisoit aimer l'autre : car,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1823 - 434 pages
...laborieux, et enfin le plus patient, a été le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus...fut jamais. Le fond d'un Romain, pour ainsi parler, étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisoit aimer l'autre; car parceqù'il... | |
| Marcus Tullius Cicero - 1823 - 480 pages
..., et enfin le plus « patient, a été le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure « milice et la politique la plus prévoyante , la plus ferme et la plus « suivie qui fut jamais.» — Bossuet. Discouru sur l'histoire universelle. Fecitque idem, et -sœpsit ' de manubiis s comitium... | |
| 1835 - 434 pages
...laborieux, et enfin le plus patient, a été le peuple romain. De tout cela s'est formé la meilleure milice, et la politique la plus prévoyante , la plus ferme et la plus suivie qui fut jamais. » ( BOSSDET , Discours sur l'Histoire universelle. ) XVII. Page ni. Le peuple... créa roi Tullus... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1836 - 686 pages
...laborieux, et enfin le plus patient, a élé le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus...fut jamais. Le fond d'un Romain , pour ainsi parler, étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisoit aimer l'autre ; car, parce... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1840 - 1066 pages
...laborieux , et enfin le plus patient , a été le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus...fut jamais. Le fond d'un Romain, pour ainsi parler, étoit l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisoit aimer l'autre ; car ,... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1841 - 842 pages
...enfin le plus patient, a été le peuple romain. De tout cela s'est formée la meilleure milice et Ja politique la plus prévoyante , la plus ferme et la...d'un Romain , pour ainsi parler, était l'amour de sa liberté et de sa patrie. Une de ces choses lui faisait aimer l'autre ; car parce qu'il aimait sa... | |
| 1842 - 498 pages
...laborieux, et enfin le plus patient, a été le peuple Romain. De tout cela s'est formé la meilleure milice et la politique la plus prévoyante, la plus ferme, et la plus suivie qui fût jamais. Le fond d'un romain, pour ainsi parler, était l'amour de sa liberté et de sa patrie.... | |
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