Revue des deux mondes, Volume 22François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1877 |
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affaires Anthony Trollope assez aujourd'hui Australie australiennes avaient Bermeo Bilbao Boisvilliers c'était cardinal Caullet César chef choses coadjuteur cœur colonies commune côté coup Cousin dégoût devant Dieu dire dit-elle donner doute Edgar Quinet Éduens enfans eût événemens famille fédérés femme force Gaule Gaulois général général Chanzy goût gouvernement guerre habitans homme j'ai jamais Jeanne jeune jour l'Australie l'église l'islamisme laisser lettre livres longtemps lui-même Madeleine Béjart Mahomet main maison marquise Marseille Mary Gérald Mazarin ment millions ministre Mme de Talyas Molière monde n'avait n'était Nouvelle-Galles du sud Ouida palais Palatin passé passion pays paysans peine pendant pensée père peuple peut-être Philippe politique porte pouvait premier presque prince prison qu'un Queensland Quinet Raoul Rigault reine reste Retz rien Roche-Ermel Rome Russie s'était semble sentimens sentiment serait Serizier seul siècle sorte souvent Tasmanie terre tête tion Trollope troupes trouve Victor Cousin volost vrai XIIIe arrondissement yeux
Popular passages
Page 612 - Sous ce tombeau gisent Plaute et Térence, Et cependant le seul Molière y gît. Leurs trois talents ne formaient qu'un esprit Dont le bel art réjouissait la France. Ils sont partis, et j'ai peu d'espérance De les revoir. Malgré tous nos efforts, Pour un long temps, selon toute apparence, Térence, et Plaute, et Molière sont morts.
Page 308 - Voilà la sainte disposition avec laquelle je sortis de Saint-Lazare. Elle ne fut pourtant pas de tout point mauvaise; car je pris une ferme résolution de remplir exactement tous les devoirs de ma profession, et d'être aussi homme de bien pour le salut des autres, que je pourrais être méchant pour moi-même.
Page 321 - Mais puis-je oublier celui que je vois partout dans le récit de nos malheurs? Cet homme si fidèle aux particuliers, si redoutable à l'État, d'un caractère si haut qu'on ne pouvait ni l'estimer, ni le craindre, ni l'aimer, ni le haïr à demi...
Page 308 - Dieu, mais ce qui est sans doute le plus sage devant le monde : et parce qu'en le faisant ainsi l'on y met toujours des préalables, qui en couvrent une partie ; et parce que l'on évite, par ce moyen, le plus dangereux ridicule qui se puisse rencontrer dans notre profession, qui est celui de mêler à contre-temps le péché dans la dévotion*.
Page 205 - Il s'informait avec soin de la valeur des terres, de ce qu'elles rapportaient, de la manière de les cultiver, des facultés des paysans, de leur nombre, de ce qui faisait leur nourriture ordinaire, de ce que leur pouvait valoir en un jour le travail de leurs mains, détails méprisables et abjects en apparence, et qui appartiennent cependant au grand art de gouverner.
Page 529 - J'avais eu mille fois cette vue; mais elle avait toujours cédé à ce que je croyais devoir à la Reine. Le souper du Palais-Royal et la résolution de me perdre avec le public l'ayant purifiée, je la pris avec joie, et j'abandonnai mon destin à tous les mouvements de la gloire.
Page 597 - J'ai dit à l'ordinaire, car ces sortes de gens (comme beaucoup d'autres) ont leur cours limité, comme celui du soleil dans le zodiaque. En ce pays-là ils viennent de Tours à Angers, d'Angers à la Flèche, de la Flèche au Mans, du Mans à Alençon, d'Alençon à Argentan ou à Laval, selon la route qu'ils prennent de Paris ou de Bretagne.
Page 403 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 108 - Nous devons donc envisager l'état présent de l'univers comme l'effet de son état antérieur et comme la cause de celui qui va suivre...
Page 658 - Leibniz un intérêt profond pour tout ce qui de près ou de loin touche à la mystique.