L'Echo de la France, Volume 7Louis Ricard (of Montreal) L. Ricard., 1868 |
Contents
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Common terms and phrases
Agnus Dei âmes bargello Beethoven c'était cachot catholique chien chose chrétienne Clément d'Alexandrie cœur comte Beugnot Concile cours demande dernier devant Dieu dire discours divine doctrines dogme donner Dumanoir Duruy écoles enfants esprit femme Fior d'Aliza gens gouvernement Gratry heures hommes horloge humaine Hyeronimo j'ai jamais Jean Wallon jeunes filles jour journaux Juilly Jules Favre jury justice l'abbé Freppel l'âme l'Eglise l'empereur l'enseignement l'esprit l'Etat l'homme laisser Lamartine larmes lettres liberté Ligue de l'enseignement livres lord Louis XVIII Lucques main MAÎTRE DE PHILOSOPHIE matérialisme médecine ment messieurs Milly ministre monde monsieur montre morale mort Napoléon Ier œuvre Origène parler paroles passer pauvre pensée père Hilario peuple Pie IX politique porte première presse prêtre prince prison professeur qu'un raison religieux religion Renève reste rien Rome saint Saint-Marc Girardin savant sbires science Sénat sentiment sera seul siècle sorte Sylvestre triste trouve vérité voilà voix vrai yeux zampogne
Popular passages
Page 618 - La religion catholique, apostolique et romaine sera librement exercée en France. Son culte sera public, en se conformant aux règlements de police que le gouvernement jugera nécessaires pour la tranquillité publique.
Page 154 - Enfin, plus je m'efforce de contempler son essence infinie, moins je la conçois; mais elle est, cela me suffit ; moins je la conçois , plus je l'adore. Je m'humilie, et lui dis : Être des êtres, je suis parce que tu es ; c'est m'élever à ma source que de te méditer sans cesse. Le plus digne usage de ma raison est de s'anéantir devant toi : c'est mon ravissement d'esprit, c'est le charme de ma faiblesse, de me sentir accablé de ta grandeur.
Page 392 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge...
Page 471 - ... d'être instruits ! Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres, qui les ont vues, les ont méprisées? Ils n'ont rien vu ; ils n'entendent rien ; ils n'ont pas même de quoi établir le néant, auquel ils espèrent après cette vie ; et ce misérable partage ne leur est pas assuré.
Page 367 - à ce dernier ; j'en « sais quelque chose. Comment voulez-vous interdire la « chasse à vos curés, si vous passez votre vie à leur en « donner l'exemple? — Sire, pour mes curés la chasse est « leur défaut; pour moi, c'est le défaut de mes ancêtres.
Page 78 - C'est au secours de la raison, de la raison humaine, que vous étiez appelé. Fénelon ne l'at-il pas dit : « Nous manquons encore plus sur la terre de raison que de religion? » C'était déjà vrai de son temps, ce l'est bien plus du nôtre. Aujourd'hui, ce qui est en péril, en plus sérieux péril que la foi elle-même, n'est-ce pas la raison? N'est-ce pas contre elle que tout conspire, que tous les...
Page 371 - Mon homme ne fit compte ni de ma terreur ni de ma prière et poursuivit : « Soyez tranquille, » les gens de résolution sont rares. » — Je fis un tour de conversion pour me préserver des suites du dialogue, et la promenade finit sans qu'il pût être repris.
Page 363 - Rois, par son attachement pour le meilleur des peuples. » Acceptez, Messieurs, au nom de la France attendrie, aux yeux de l'Europe étonnée, ce sacrifice, le plus grand qui ait été fait sur la terre ; et pleins de la profonde émotion que vous éprouvez...
Page 614 - Les religions de l'Inde renferment toutes une idée panthéistique , unie à un sentiment profond des énergies de la Nature. Le Temple dut porter l'empreinte de cette idée et de ce sentiment. Or le panthéisme est à la fois quelque chose d'immense et de vague. Que le Temple s'agrandisse indéfiniment, qu'au lieu d'offrir un tout régulier saisissable à l'œil, il force, par ce qu'il a...
Page 469 - ... est faible, les bons aux mauvais, les êtres bien doués d'esprit et de corps aux êtres vicieux et malingres. Que résulte-t-il de cette protection inintelligente accordée exclusivement aux faibles, aux infirmes, aux incurables, aux méchants eux-mêmes, enfin à tous les disgraciés de la nature ? c'est que les maux dont ils sont atteints tendent à se perpétuer indéfiniment ; c'est que le mal augmente au lieu de diminuer, et qu'il s'accroît de plus en plus aux dépens du bien.