Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ. par m. Charpentier |
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Common terms and phrases
24 novembre aime Alfred de Musset âme amour anglaise ARTHUR ARNOULD assez aujourd'hui azotées Ben Jonson Bendigo besoin c'était CATHERINE cause chambre charme chose cœur commence COMTE Comus Constitution de 1852 critique d'Hippocrate demande devant Dieu dire donner doute écrit écrivains Émile Augier esprit femme fille force François Ier Frédéric général gens gouvernement Guizot Hélène heureux Hippocrate hommes idées j'ai Jacques jamais jeune John Milton jour journaux jusqu'à l'amour l'autre l'empereur l'esprit l'Italie laisser lettres liberté Livraison lui-même Lutel madame Berthelin madame Ollinger main Marguerite médecine ment mieux Milton ministres monde morale nation œuvres parler passé passion pays pensée personne peuple peut-être pièces poésie poëte politique première presque presse principes public publique qu'un question raison responsabilité reste rien s'est s'il Saint-Marc Girardin Sainte-Beuve scène semble sentiment serait sérieux seul siècle Soranus sorte surtout talent terre arable théâtre tion trouve vérité Vernouillet Voilà vrai yeux
Popular passages
Page 571 - C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut du malheur recevoir le baptême, MO Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté.
Page 562 - Mais je hais les pleurards, les rêveurs à nacelles, Les amants de la nuit, des lacs, des cascatelles, Cette engeance sans nom, qui ne peut faire un pas Sans s'inonder de vers, de pleurs et d'agendas.
Page 570 - Muse! que m'importe ou la mort ou la vie? J'aime, et je veux pâlir; j'aime, et je veux souffrir; J'aime, et pour un baiser je donne mon génie; J'aime, et je veux sentir sur ma joue amaigrie Ruisseler une source impossible à tarir...
Page 573 - Me chanteraient la joie et le mépris des dieux, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puissions faire, Je souffre, il est trop tard; le monde s'est fait vieux. Une immense espérance a traversé la terre; Malgré nous vers le ciel il faut lever les yeux ! » Que me reste-t-il donc ? Ma raison révoltée Essaye en vain de croire et mon cœur de douter.
Page 564 - Voici la verte Ecosse et la brune Italie, Et la Grèce, ma mère, où le miel est si doux, Argos, et Ptéléon, ville des hécatombes; Et Messa la divine, agréable aux colombes; Et le front chevelu du Pélion...
Page 182 - Le conseil général peut adresser directement au ministre compétent, par l'intermédiaire de son président, les réclamations qu'il aurait à présenter dans l'intérêt spécial du département, ainsi que son opinion sur l'état et les besoins des différents services publics, en ce qui touche le département.
Page 569 - LA MUSE Poète, prends ton luth et me donne un baiser ; La fleur de l'églantier sent ses bourgeons éclore. Le printemps naît ce soir; les vents vont s'embraser; Et la bergeronnette, en attendant l'aurore, Aux premiers buissons verts commence à se poser. Poète, prends ton luth et me donne un baiser.
Page 551 - Alors sa sœur, plus mal que morte, Courra baiser le Messager Qui telles nouvelles apporte Que son frère est hors de danger.
Page 480 - Il ya longtemps qu'on a dit que l'hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu.
Page 567 - Ah! malheur à celui qui laisse la débauche Planter le premier clou sous sa mamelle gauche! Le cœur d'un homme vierge est un vase profond : Lorsque la première eau qu'on y verse est impure, La mer y passerait sans laver la souillure, Car l'abîme est immense, et la tache est au fond.