Presque tous les peuples policés habitent dans des maisons. De là est venue naturellement l'idée de bâtir à Dieu une maison où ils puissent l'adorer, et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet , rien n'est plus consolant... Étude critique sur le XVIIIe siècle à Bordeaux - Page 122by Alfred Leroux - 1921 - 416 pagesFull view - About this book
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 602 pages
...où ils puissent l'adorer et l'aller chercher dans leurs craintes on leurs espérances. En effet , rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu...présente, et où, tous ensemble, ils font parler leur foiblesse et leur misère. Mais cette idée si naturelle ne vient qu'aux peuples qui cultivent les... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 606 pages
...maison, où ils puissent l'adorer et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu...présente, et où, tous ensemble, ils font parler leur foiblesse et leur misère. Mais cette idée si naturelle ne vient qu'aux peuples qui cultivent les... | |
| 1797 - 164 pages
...ministres , et de se reposer au sein de leurs plus douces habitudes de tous les maux qu'ils ont soufferts. Rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu...présente , et où tous ensemble ils font parler leur misère et leur foiblesse. Aussi l'univers est le premier temple de la divinité ; sa sagesse , sa... | |
| Jean Chas - 1801 - 316 pages
...« ils puissent l'adorer et l'aller chercher dans leurs « craintes ou leurs espérances. En effet , rien n'est « plus consolant pour les hommes qu'un...ils font parler leur faiblesse et leur « misère. Toutes les fois qu'un génie malfaisant, « dit Z,aleucus, entraîne un homme vers le crime, « qu'il... | |
| Catholic Church. Pope (1800-1823 : Pius VII). - 1802 - 206 pages
...ou leurs espérances. En effet » i» rien n'est plus consolant pour les hommes , qu'un lieu où *i ils trouvent la Divinité plus présente , et où tous ensemble » ils font parler leurs faiblesses et leurs misères (i). » D'autre part , une religion ne pouvant subsister sans ministres... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1803 - 478 pages
...maison où ils puissent l'adorer et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu où ils trouvent la divinité religions des Indes : celles-ci ont un enfer et un paradis; an lieu que la religion des Siutos n'en... | |
| France - 1813 - 1258 pages
...où ils puissent l'adorer, et l'aller chercher " dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est " plus consolant pour les hommes, qu'un...plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs " faiblesses et leur misères." (Esprit desLois, liv.\iiv,chap.3.) D'autre part une religion... | |
| France - 1813 - 1244 pages
...craintes on leurs cspéraures. En effet, rien n'est " plus consolant pour les hommes, qu'un lieu ou ils trouvent la •" divinité plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs •' faiblesses et leur misères." (Esprit des Lois, ln\\\\ ,i/:>i/i. ,.') D'antre part une religion... | |
| France - 1816 - 1254 pages
...où ils puissent l'adorer, et l'aller chercher dans leurs craintes ou leurs espérances. En effet, rien n'est plus consolant pour les hommes, qu'un lieu...plus présente, et où tous ensemble ils font parler leurs " faiblesses et leur misères." (Esprit des Lois, liv.Tlxv,c/uip.3.) D'autre part une religion... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1817 - 822 pages
...oh ils puissent l'adorer et l'aller chercher dans leurs craintes ou leur» espérances. En effet , rien n'est plus consolant pour les hommes qu'un lieu...ensemble ils font parler leur faiblesse et leur misère. Mais cette idée si naturelle ne vient qu'aux peuples qui cultivent les terres ; et on ne verra pas... | |
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