On n'entendra jamais piaffer sur une route Le pied vif du cheval sur les pavés en feu ; Adieu, voyages lents, bruits lointains qu'on écoute, Le rire du passant, les retards de l'essieu, Les détours imprévus des pentes variées, Un ami rencontré,... Nouveaux lundis - Page 441by Sainte-Beuve - 1866Full view - About this book
| 1864 - 1034 pages
...Puisqu'il est aussi prompt, sur ses lignes de fer, Que la flèche lancée à travers les espaces i.ii'i va de l'arc au but en faisant siffler l'air. On n'entendra...charmant; il y en a de très élevés : la nature parle et dit d'admirables choses dans son impassible dédain pour la fourmilière humaine : On me dit une... | |
| 1864 - 1070 pages
...lignes de fer, Que la flèche lancée à travers les espaces Qui va de l'arc au but en faisant siftler l'air. On n'entendra jamais piaffer sur une route...charmant; il y en a de très élevés : la nature parle et dit d'admirables choses dans son impassible dédain pour la fourmilière humaine : On me dit une... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1866 - 484 pages
...blessé, Portant comme le mien, sur son aile asservie, Tout un monde fatal, écrasant et glacé; S'il ne bat qu'en saignant par sa plaie immortelle,... si...charmant ; il y en a de très élevés : la nature parle et dit d'admirables choses dans son impassible dédain pour la fourmilière humaine : On me dit une... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1866 - 486 pages
...blessé, Portant comme le mien, sur son aile asservie, Tout un monde fatal , écrasant et glacé ; S'il ne bat qu'en saignant par sa plaie immortelle,... si...piaffer sur une route Le pied vif du cheval sur les pavas en feu; Adieu, voyages lents, bruits lointains qu'on écoute. Le rire du passant, les retards... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1866 - 484 pages
...flèche lancée à travers les espaces Qui va de l'arc au but en faisant siffler l'air. On ^'entendra jamais piaffer sur une route Le pied vif du cheval...charmant; il y en a de très élevés : la nature parle et dit d'admirables choses dans son impassible dédain pour la fourmilière humaine : On me dit une... | |
| Alfred de Vigny - 1882 - 358 pages
...nature, Qu'un brouillard étouffant qne traverse un éclair. On n'entendra jamais piaffer sur une ronte Le pied vif du cheval sur les pavés en feu : Adieu, voyages lents, bruits loietains qu'on écoule, Le rire du passant, les retards de l'essieu, Les détours imprévns des pentes... | |
| Léon Frémont - 1899 - 996 pages
...disparue la poésie du voyage avec la dernière diligence : On n'entendra jamais piaffer sur une roule Le pied vif du cheval sur les pavés en feu. Adieu voyages lents, bruits lointain* qu'on écoute, Le rire du passant, les retards da l'essieu, Les détours imprévus des pontes... | |
| Francis Yvon Eccles - 1909 - 399 pages
...no Ne respire et ne voit, dans toute la nature, Qu'un brouillard étouffant que traverse un éclair. On n'entendra jamais piaffer sur une route Le pied...Adieu, voyages lents, bruits lointains qu'on écoute, n5 Le rire du passant, les retards de l'essieu, Les détours imprévus des pentes variées, Un ami... | |
| Émile Faguet - 1911 - 330 pages
...plus qu'eux. Eh bien, alors, ce sera très triste, et les voyages seront très tristes eux-mêmes. On n'entendra jamais piaffer sur une route Le pied vif du cheval sur les pavés en feu. [Exact. Au temps où le poète écrit, les routes des environs de Paris et, par exemple, jusqu'à Orléans,... | |
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