 A mesure qu'il la déchirait, il déchirait aussi sa peau et sa chair ; son sang ruisselait, et trempait la terre. Enfin sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir : ils sont...  Les aventures de Télémaque: fils d'Ulysse - Page 273by François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 467 pagesFull view - About this book
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1787 - 724 pages
...terre. Enfin, sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctete, les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes;...conjugal. Après avoir vaincu tant d'ennemis, je me suis lâche- . ment laissé vaincre par l'amour d'une beauté étrangere : je péris; et je suis content... | |
 | François de Salignac de la Mothe Fénelon - 1790 - 454 pages
...Enfin , sa vertu surmontant sa douleur , il s'écria : Tu vois , ô mon cher Philoctète , les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes ;...étrangère : je péris ; et je suis content de périr pour appaiser les dieux. Mais , hélas ! cher ami , où est-ce que tu fuis ? L'excès de la douleur m'a... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1790 - 430 pages
...Enfin , sa vertu surmontant sa douleur , il s'écria : Tu vois , 6 mon cher Philoctète , les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes ;...étrangère : je péris ; et je suis content de périr pour appaiser les dieux. Mais , hélas ! cher ami , où est-ce que tu fuis ? L'excès de la douleur m'a... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1805 - 528 pages
...terre. Enfin, sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes ;...violé l'amour conjugal. Après avoir vaincu tant d'e:inemis, je me suis lâchement laissé vaincre par l'amour d'une beauté étrangère : je péris... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1810 - 374 pages
...oflt-nsés ; j'ai \kilé l'amour conjugal. Après as air \aiiicu tant d'ennemis , p me suit Jacitenient laissé vaincre par l'amour d'une beauté étrangère : je péris ; et je suis content Je perir pour aviser lea dieux. Mais , itélas ! cher ami , où est-ce que lu luis ? L'exrèi de la... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon, Villemain (M.) - 1811 - 440 pages
...terre. Enfin, sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois , ô mon cher Philotecte, les maux que les Dieux me font souffrir : ils sont justes ;...étrangère : je péris , et je suis content de périr pour appaiser les Dieux. Mais, hélas ! cher ami, où est-ce que tu fuis? L'excès de la douleur m'a fait... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 624 pages
...sapins, etc. A. sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir: ils sont justes; c'est...douleur m'a fait commettre, il est vrai, contre ce misérahle Lâchas, une cruauté que je me reproche : il n'a pas su quel poison il me présentoit;... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1821 - 426 pages
...terre. Enfin, sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir; ils sont justes; c'est...étrangère; je péris et je suis content de périr pour appaiser les dieux. Mais, hélas ! cher ami, où est-ce que tu fuis? L'excès de la douleur m'a fait... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1822 - 566 pages
...terre. Enfin , sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes; c'est moi qui los ai offensés; j'ai violé l'amour conjugal. Ajiri?s avoir vaincu tant d'ennemis, je me suis lâchement... | |
 | François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1824 - 656 pages
...sapins, etc. A. sa vertu surmontant sa douleur, il s'écria : Tu vois, ô mon cher Philoctète, les maux que les dieux me font souffrir : ils sont justes ;...fait commettre, il est vrai, .contre ce misérable Lâchas, une cruauté que je me reproche : il n'a pas su quel poison il me présentoit; il n'a point... | |
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