Histoire de France depuis les origines jusqu'à nos jours: Louis XIII et Louis XIV jusqu'à la Paix de Ryswick |
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affaires Allemands alliance alliés Anglais Anne d'Autriche armée arrêter assiégea avaient Bavière c'était calvinistes campagne capitula cardinal catholiques Catinat charges Charles clergé coalition Colbert Cologne commandement comte Condé conseil cour d'État déclara devait donna duc d'Orléans duc de Lorraine enleva ennemis envoya Épernon Espagnols établit États finances Flandre flotte forces française fût garder garnisons Gaston général gouvernement gouverneur guerre Guillaume Hollande Impériaux intendants jusque-là l'Angleterre l'armée l'électeur l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Espagne l'Europe laissa ligue Louis XIV Louvois Luxembourg Luynes madame de Maintenon madame de Montespan maréchal Marie de Médicis marine maritime Mazarin ment militaire mille hommes ministres mois n'avait n'était négociations Nimègue noblesse obligé officiers paix Parlement Pays-Bas Pays-Bas espagnols Pignerol places politique pouvait prétentions prince d'Orange princesse prit protestants provinces refusa reine résistance Rhin Richelieu Rohan royale s'était Savoie Schomberg sentiments seul siége soldats succès Suède Suédois tion traité Trèves troupes Turenne vaisseaux Vauban voulait voulut
Popular passages
Page 515 - Enfin il a fallu que je lui ordonnasse de se retirer, parce que tout ce qui passait par lui, perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France qui n'est pas malheureux.
Page 529 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 622 - Majesté crée un office , Dieu crée un sot pour l'acheter.
Page 23 - Marie de Médicis, en perdant le titre de régente, puisait ainsi dans la fiction de la majorité une puissance plus solide et moins contestable, tant que le monarque , majeur selon la loi, mineur selon la nature, resterait docile à la voix maternelle.
Page 529 - En second lieu, il est bon que vous appreniez que ces noms mystérieux de franchises et de libertés de l'Église , dont on prétendra peut-être vous éblouir, regardent également tous les fidèles , soit laïques , soit tonsurés, qui sont...
Page 541 - Enfin, nul autre ami n'a tant de soin et d'attention que le roi en a pour elle ; et , ce que j'ai dit bien des fois , elle lui fait connaître un pays tout nouveau , je veux dire , le commerce de l'amitié et de la conversation , sans chicane et sans contrainte : il en paraît charmé.
Page 379 - Celui qui a donné des rois aux hommes a voulu qu'on les respectât comme ses lieutenants, se réservant à lui seul le droit d'examiner leur conduite. Sa volonté est que, quiconque est né sujet, obéisse sans discernement...
Page 564 - Il ne s'étoit jamais cru si grand devant les hommes, ni si avancé devant Dieu dans la réparation de ses péchés et du scandale de sa vie. Il n'entendoit que des éloges, tandis que les bons et vrais catholiques et les saints évêques gémissoient de tout leur cœur de voir des orthodoxes imiter, contre les...
Page 373 - Roi étoit achevé après beaucoup de difficultés; et le cardinal Mazarin, tout glorieux d'avoir donné la paix à la France, sembloit n'avoir plus qu'à jouir de cette grande fortune où son bonheur l'avoit élevé. Jamais ministre n'avoit gouverné avec une puissance si absolue , et jamais ministre ne s'étoit si bien servi de sa puissance pour l'établissement de sa grandeur. La...