La question du divorceCalmann Lévy, 1880 - 417 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
1817 LIBRARIES Abraham adultère aimer âmes amour anathème arguments aurait avez besoin Bilha cause chair choses chrétienne Clément VII cœur concile de Trente condamne conjoint conjugal conscience contrat coupable Croyez-vous déclare demande devoirs Dieu dire divine divorce donner ducats ecclésias Église Égypte enfants épouse éternellement Étienne III famille fants femme adultère femme coupable force Fra Paolo Sarpi François Ier homme humaine indissoluble innocent Jacob jamais Jésus jour l'adultère l'amour l'autre l'Église catholique l'enfant l'épouse l'homme l'humanité l'indissolubilité du mariage l'un des époux légalement légitimes livre loi civile loi religieuse lois Louis XII Luther mari marier ment mère MICHIGAN mœurs Moïse monde monsieur l'abbé morale mort mourir Naquet noces nullité pape parents passe passions pays père Didon peuples premier prêtre prêtres catholiques Rachel raison Réforme religion remarier répudia reste riage rien s'il sacrement saint Sarah sentiment séparation sera seulement société terre tion trouve vérité virginité voilà voulait vrai Zilpa
Popular passages
Page 163 - Pour nous, messieurs, qui avons conservé la foi de nos pères, et pour qui les merveilles de la création sont toujours de saintes vérités, ces lois (les lois constitutives du mariage) ont une source bien plus noble, elles dérivent de la Divinité elle-même.
Page 322 - Si quelqu'un dit que les ecclésiastiques qui sont dans les ordres sacrés, ou les réguliers qui ont fait profession solennelle de chasteté, peuvent contracter mariage, et que, l'ayant contracté, il est bon et valide, nonobstant la loi ecclésiastique ou le vœu qu'ils ont fait ; que de soutenir le contraire, ce n'est autre chose que condamner le mariage, et que tous ceux qui ne se sentent pas avoir le don de chasteté, encore...
Page 4 - Par la mort de l'un des époux ; 2* Par le divorce légalement prononcé ; 3* Par la condamnation, devenue définitive, de l'un de; époux à une peine emportant mort civile.
Page 165 - II faut donc, pour les concilier, que l'une des deux fléchisse et mette ses dispositions en harmonie avec celles de l'autre. « Mais la loi religieuse appartient à un ordre de choses fixe, immuable, élevé au-dessus du pouvoir des hommes. « La nature des lois humaines, dit Mon...
Page 322 - Si quelqu'un dit que l'état de mariage doit être préféré à celui de la virginité et du célibat, et que ce n'est pas quelque chose de meilleur et de plus heureux de demeurer dans la virginité et dans le célibat que de se marier, qu'il soit anathème !
Page 170 - ... demandé d'être sa femme, est allée trouver et consulter un prêtre, ce prêtre a dû lui dire de ne rien déclarer à cet homme, qui, du moment qu'il prétend l'aimer, doit savoir d'avance à quoi l'engage implicitement l'amour chrétien, et pour le prêtre il n'en existe pas d'autre que celui-là. « Que celui qui est sans péché lui jette le premier la pierre!
Page 165 - La loi civile qui permet le divorce est donc en opposition avec la loi religieuse. » Or cette opposition ne doit point exister, car la loi civile, empruntant sa plus grande force de la loi religieuse, il est contre sa nature d'induire les citoyens à la mépriser. » // faut donc, pour les concilier, que l'une des deux fléchisse et mette ses dispositions en harmonie avec celles de l'autre.
Page 5 - Les dissentiments religieux survenus après le mariage et prouvés, soit par le changement de religion de l'un des époux, soit par la religion imposée aux enfants lors de leur naissance et dans les années qui suivent, soit par l'aveu des deux parties...
Page 321 - Si quelqu'un dit que l'Église est dans l'erreur quand elle enseigne, comme elle a toujours enseigné, suivant la doctrine de l'Évangile et des apôtres : que le lien du mariage ne peut être dissous pour le péché d'adultère de l'une des parties ; et que ni...
Page 168 - L'article 310 du Code civil est modifié comme il suit : » Tout jugement de séparation de corps, devenu définitif depuis trois ans au moins, sera converti en jugement de divorce sur la demande formée par l'un des époux, sur requête et assignation à bref délai.