Oeuvres de d'Alembert, Volume 2A. Belin, 1821 |
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académicien académie assez aurait avaient Boileau Bossuet Campistron cardinal célèbre Charles Perrault Christine Colbert compagnie confrères Corneille courtisan croyait d'avoir d'être Dangeau Despréaux Dieu digne dire disait disait-il discours doit donner duc de Montausier écrit écrivains éloge enfans ennemis épigramme espèce eût évêques faisait Fénélon Fléchier Fontenelle gens de lettres gloire goût heureux hommes jamais jansénistes Jésuites jour juger justice l'abbé de Dangeau l'abbé Regnier l'Académie Française l'auteur l'Eglise l'éloge l'éloquence l'esprit l'histoire laisser langue latin long-temps Louis XIV madame madame Dacier madame de Sévigné magistrats malheur Meaux mérite ministre Molière monarque Montausier mort n'avait n'était nation Nîmes ouvrages parler penser père peut-être philosophe poésie poëte pouvait prélat presque prétend prince protestans qu'un quelquefois Racine raison religion répondit reproche ridicule s'il sage satire Segrais semble sentimens sentir serait seul sévère siècle société souverain style succès Suède sujet surtout talens tion trait trouve vérité voulait vrai zèle
Popular passages
Page 252 - ... heureux si, averti par ces cheveux blanes du compte que je dois - rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe et d'une ardeur qui s'éteint ! i Bossuet se tint parole.
Page 494 - État , pour faire et pour défendre de vaines conquêtes au dehors. Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple , il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir.
Page 240 - Au sieur Chapelain, le plus grand poète français qui ait jamais été , et du plus solide jugement.
Page 206 - ... amoureux *, ce ne sera plus la même chose. Vive donc notre vieil ami Corneille ! Pardonnons-lui de méchants vers en faveur des divines et sublimes beautés qui nous transportent. Ce sont des traits de maître qui sont inimitables. Despréaux en dit encore plus que moi ; en un mot, c'est le bon goût • tenez-vous-y*.
Page 266 - Quand une fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l'appât de la liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu'elle en entende seulement le nom...
Page 495 - Les émotions populaires , qui étaient inconnues depuis si long-temps , deviennent fréquentes. Paris même, si près de vous , n'en est pas exempt. Les magistrats ' sont contraints de tolérer l'insolence des mutins , et de faire couler sous main quelque monnaie pour les apaiser.
Page 495 - Le peuple même (il faut tout dire) , qui vous a tant aimé, qui a eu tant de confiance en vous, commence à perdre l'amitié, la confiance et même le respect. Vos victoires et vos conquêtes ne le réjouissent plus; il est plein d'aigreur et de désespoir. La sédition s'allume peu à peu de toutes parts. Ils croient que vous n'avez aucune pitié de leurs maux, que vous n'aimez que votre autorité et votre gloire.
Page 400 - Rien n'est impossible à Votre Majesté : elle a voulu faire de mauvais vers, et elle ya parfaitement réussi.
Page 251 - L'éloge funèbre de Madame, enlevée à la fleur de son âge, et morte entre ses bras, eut le plus grand et le plus rare des succès, celui de faire verser des larmes à la cour. Il fut obligé de s'arrêter après ces paroles, «0 nuit désastreuse! nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : Madame se meurt, Madame est morte, etc.
Page 162 - L'académicien qui était alors directeur, continue Charles Perrault, alla, suivi de toute la compagnie en corps, haranguer le roi à Saint-Germain, à la suite du parlement, de la chambre des comptes et de la cour des aides.