| 1989 - 686 pages
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| 1864 - 614 pages
...marbre ont les dieux pour sculpteurs. « Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine « Je sens passer sur moi la comédie humaine « Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs. a Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « À côté des fourmis, des populations ; «... | |
| Alfred de Vigny - 1864 - 214 pages
...sculpteurs. Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Oui cherche en vain au, ciel ses muets spectateurs. «...; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre , J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver... | |
| 1864 - 598 pages
...marbre ont les dieux pour sculpteurs. « Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs ; à peine « Je sens passer sur moi la comédie humaine « Qui cherche...roule avec dédain, sans voir et sans entendre, « A cêté des fourmis, des populations ; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore... | |
| Revue nationale et étrangère - 1864 - 604 pages
...vos cris ni vos soupirs ; à peine « Je sens passer sur moi la comédie humaine « Qui cherche on vain au ciel ses muets spectateurs. « Je roule avec...sans voir et sans entendre, « A côté des fourmis, des populations; « Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre, « J'ignore en les portant les... | |
| Alfred de Vigny - 1882 - 358 pages
...soupirs ; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain an ciel ses mnets spectateurs. « Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre, A côté des fourmis les populatious ; Je ne distingne pas leur terrier de leur cendre, J'ignore en les portant les noms des... | |
| Jules Lemaître - 1886 - 350 pages
...comme -~" Vigny, son maître le plus direct, qui avait fait dire à la Nature dans un langage superbe : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre; J'ignore en les portant les noms des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend... | |
| Émile Faguet - 1887 - 486 pages
...dédaigneuse sérénité de la nature éternelle. C'est bien sa voix puissante qu'on entend dans ces vers : Je roule avec dédain, sans voir et sans entendre,...; Je ne distingue pas leur terrier de leur cendre ; J'ignore en les portant le nom des nations. On me dit une mère et je suis une tombe. Mon hiver prend... | |
| Émile Faguet - 1887 - 580 pages
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| Elme-Marie Caro - 1888 - 390 pages
...ne peut remuer le pied de ses acteurs.... Je n'entends ni vos cris ni vos soupirs; à peine Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en...populations ; Je ne distingue pas leur terrier de leur ccudre, J'ignore en les portant les noms des Nations. On me dit une mère, et je suis une tombe. Mon... | |
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