Il y avait là trop de doux écueiis pour que j'osasse les affronter. Mais dans le cours de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de mes amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai à en courir... Impressions de voyage - Page 67by Alexandre Dumas - 1855 - 278 pagesFull view - About this book
| Vittorio ALFIERI (Count.) - 1840 - 532 pages
...de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de mes amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai...et fatigant, * dont je ne rapportai pour tout fruit que mon sonset sur Rome, que je fis, une nuit, dans une pitoyable auberge de Baccano, où il me fut... | |
| 1861 - 1038 pages
...de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de rues amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai...et fatigant, dont je ne rapportai pour tout fruit que mon sonnet sur Rome, que je fis, une nuit, dans une pitoyable auberge de Baccano, où il me fut... | |
| 1861 - 1068 pages
...de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de mes amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai...poste, et je m'en allai à franc étrier jusqu'à Home, voyage insensé et fatigant, dont je ne rapportai pour tout fruit que mon sonnet sur Rome, que... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1861 - 1030 pages
...de cet automne, pressé à plusieurs reprises par un de mes amis de me laisser présenter à elle, et me croyant désormais assez fort, je me risquai...de décembre je pris la poste, et je m'en allai à frauc étrier jusqu'à Rome, voyage insensé et fatigant, dont je ne rapportai pour tout fruit que... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 504 pages
...me laisser présenter à elle, et me croyant « désormais assez fort, je me risquai à en cou« rir le danger, et je ne fus pas longtemps à me « sentir...fatigant, dont je -ne rapportai pour tout « fruit que mon sonnet sur Rome, que je fis, er une nuit, dans une pitoyable auberge de « Baccano, où il... | |
| Alexandre Dumas - 1865 - 292 pages
...passer dans notre langue les Dernières Lettres de Jacques Ortt's et les t'rùt.m de Silvio Pellieu. et me croyant désormais assez fort, je me risquai...insensé et fatigant, dont je ne rapportai pour tout fruil qu'un sonnet que je fis une nuit dans une pitoyable auherge de Baccano, où il me fut impossible... | |
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