J'aime moins ce champ qu'un autre, parce que je crois qu'il est fort aisé de s'y égarer, et de s'y perdre ; et si je ne m'oppose pas même aux folies, j'ai un droit de plus pour ne pas aimer les extravagances. J'aime pour moi, qui ai la vue courte,... Les conversations d'Émilie - Page 260by Épinay (Mme d'.) - 1804Full view - About this book
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1781 - 488 pages
...la vue courte , qu'un champ foit borné par un grand but d'utilité & de morale , & que la fantaifie des hommes s'exerce dans l'imitation de la nature qui lui offre des richeffes inépuifables , au lieu de fe jeter à perte de vue dans le chimérique & le fantaftique... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - 1788 - 488 pages
...la vue courte , qu'un champ foit borné par un grand but (d'utilité & de morale, & que la fantaifie des hommes s'exerce dans l'imitation de la nature qui lui offre des jrichefies inépuifables , au lieu de fe jeter à perte de vue dans le chimérique & le fantaflique,... | |
| Geraldine Emma Hodgson - 1908 - 262 pages
...observe that he thought similarly.) Then, when Emilie asks if she " dislikes fairyland," she replies, "J'aime moins ce champ qu'un autre, parce que je crois...sont immenses aussi, mais fastidieux et insipides." So it becomes plain that even this sage and experienced woman cannot accept the goods the gods offer;... | |
| |