Théorie des signes pour l'instruction des sourds-muets, Volume 2

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A l'Imprimerie de l'Institution des Sourds-Muets, sous la direction d'Ange CLO, 1808 - 656 pages
 

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Popular passages

Page 297 - N'oubliez pas de manger du fruit de l'arbre de la science du bien et du mal; car vous nous paraissez un peu ignorant et malin.
Page 456 - Représenter celle-ci levant la main et les yeux vers le ciel, comme pour le prendre à témoin de la vérité de ce qu'elle dit avoir vu, ou avoir entendu.
Page 622 - L'ours atteint sur le roc la chevre et ses cabris ; Le renard est en train de croquer la poulette ; Le loup à belles dents déchire la brebis... J'en sais trop, dit la taupe... Ah, dieux! je vous rends grâce : Si c'est là ce qu'on fait dans le monde , en ce cas C'est bien assez d'entendre , hélas ! Sans voir encor ce qui s'y passe.
Page 622 - Comment peux-tu vivre sans voir? Végéter du matin au soir, Voilà donc ce que tu peux faire ! .... Encor si tu savais ce que je sais, ma chère, En t'occupant l'esprit dans ton petit manoir, De tes cruels ennuis tu pourrais te distraire; Mais, quand on n'a rien vu, l'on ne peut rien savoir.
Page 62 - Figurer des richesses, en faisant le signe de pièces de monnoie qu'on a l'air de compter, et qui forment une somme considérable; on fait aussi le signe de toutes les sortes de propriétés qui font l'homme riche : maisons de campagne, maisons de ville, fermes, etc.; revenus de toutes les espèces. 2°. Exprimer le violent désir de posséder tous ces objets , et l'attachement excessif aux moindres biens. 3°. Figurer le soin que l'on met à les conserver , et surtout celui de n'en point user, ou...
Page 369 - Car elle est ce qu'il ya de plus subtil , de plus pur et de plus simple ; elle étend sa pensée universelle sur l'univers ; elle a une puissance infinie.
Page 604 - Nous avons des vers de douze, de dix, de huit, de sept, de six , de cinq , de quatre , de trois , de •deux, et même d'une syllabe.
Page 622 - L'hirondelle s'amuse à nourrir ses petits Avec les moucherons que l'araignée a pris ; L'épervier dans la nue enlève l'alouette; Le chat sous la javelle attrape les souris ; L'épagneul, ou le chien qu'on fouette, Sous le plomb meurtrier du chasseur qui la guette, Avec tous ses perdreaux fait passer la perdrix ; Ici, c'est le lapin que suce la belette ; Là c'est la vache à lait que la couleuvre...
Page 652 - Observations sur un ouvrage anonyme , intitule : Remarques morales, philosophiques et grammaticales, sur le Dictionnaire de 1 Académie française, par A.
Page 168 - 1° Signe de vrai, en tirant une ligne droite de la bouche, avec l'index qui la trace de ce point en avant; accompagner ce signe de celui de la négation ; 2° tirer une ligue d'une manière horizontale , et dans le sens de la bouche. 3

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