Croire le mal moins rude quand il nous est commun avec plusieurs autres personnes, c'est,, disait- il , une grande marque d'ignorance, et c'est avoir bien peu de bon sens, que de mettre les peines communes au nombre des consolations". Oeuvres de Spinoza - Page xxxixby Benedictus de Spinoza - 1861Full view - About this book
| Benedictus de Spinoza - 1830 - 756 pages
...ne cberchoit de consolation que dans lui-même, et s'il étoit sensible a quelque douleur, c'étoit à la douleur d'autrui. Croire le mal moins rude,...est commun avec plusieurs autres personnes, c'est, disoil-il, une grande marque d'ignorance, et c'est avoir bien peu Je bon sens que de mettre ¡es peines... | |
| Amand Saintes - 1842 - 432 pages
...laquelle il n'a jamais failli. « S'il était sensible à quelque douleur, écrit un de ses biographes, c'était à la douleur d'autrui. Croire le mal moins...consolations. C'est dans cet esprit qu'il versa des larmes lorsqu'il vit ses concitoyens déchirer, dans le célèbre M. deWitt, leur père commun. Mais comme... | |
| Benedictus de Spinoza - 1842 - 600 pages
...science si rare, mais cependant si nécessaire. Il ne cherchait de consolation que dans lui-même; et s'il était sensible à quelque douleur, c'était à la douleur d'autrui. Croire lc mal moins rude quand H nous est commun avec plusieurs autre» personnes, c'est, disait-il, une grande... | |
| Benedict Spinoza - 1861 - 564 pages
...jamais homme n'entendit mieux cette science que lui. 11 ne cherchait de consolation que dans lui-même ; et s'il était sensible à quelque douleur, c'était...autres personnes, c'est, disait-il, une grande marque d'1- , gnorance, et c'est avoir bien peu de bon sens que de mettre les peines communes au nombre des... | |
| Benedictus de Spinoza - 1861 - 556 pages
...jamais homme n'entendit mieux cette science que lui. 11 ne cherchait de consolation que dans lui-même ; et s'il était sensible à quelque douleur, c'était...autres personnes, c'est, disait-il, une grande marque d'ignorunce, et c'est avoir bien peu de bon sens que de mettre les peines communes au nombre des consolations.... | |
| Baruch Spinoza (dit Benedictus de) - 1861 - 554 pages
...jamais homme n'entendit mieux cette science que lui. 11 ne cherchait de consolation que dans lui-même ; et s'il était sensible à quelque douleur, c'était...la douleur d'autrui. Croire le mal moins rude quand 11 nous est commun avec plusieurs autres personnes, c'est, disait-il, une grande marque d'ignorance,... | |
| Benedictus de Spinoza - 1863 - 434 pages
...jamais homme n'entendit mieux cette science que lui. 11 ne cherchait de consolation que dans lui-même, et s'il était sensible à quelque douleur, c'était...douleur d'autrui. Croire le mal moins rude quand il notis est commun avec plusieurs personnes, c'est, disait-il, une grande marque d'ignorance, et c'est... | |
| Benedictus de Spinoza, Baruch Spinoza - 1872 - 562 pages
...cherchait de consolation que dans lui-même ; et s'il était sensible à quelque douleur, c'élait à la douleur d'autrui. Croire le mal moins rude quand...consolations. C'est dans cet esprit qu'il versa des larmes lorsqu'il vit ses concitoyen» déchirer leur père commun1, et quoiqu'il sût mieux qu'homme du monde... | |
| Jacob Freudenthal - 1899 - 336 pages
...«Croire le mal moins rüde quand il nous est commun avec plusieurs 35 autres personnes, c'est, disoit-il, une grande marque d'ignorance, et c'est avoir bien...mettre les peines communes au nombre des consolations. » 1 M. Simon de Vries. 2 II ne döpensoit pas six sols par jour. Tun portant l'autre, et ne buvoit... | |
| |