L'Annee Philosophique, Volume 4F. Alcan, 1894 |
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2º édit Année philos Arnauld Auguste Comte Bouddha c'est-à-dire cartésienne causalité cause choses chrétienne Christ christianisme christologie conception connaissance conscience corps criticisme critique croyance d'autres Descartes devoir disciples dit-il divine doctrine dogme esprit éternelle Évangiles faculté Félix Alcan figures Fischbacher géométriques HERBERT SPENCER Histoire hommes humaine idées infini Jésus JOHN LUBBOCK jugement Juifs Kant l'âme l'auteur l'esprit l'être l'évolution l'existence l'histoire l'homme l'idéalisme l'idée l'infini liberté logique lois Malebranche Marc matérielle matière Matt Matthieu ment Messie métaphysique méthode miracles monde morale nature naturelle nécessaire notions noumène objets panthéisme paraît parousie Paul Paul JANET péché pensée perception phénomènes philo philosophie philosophie contemporaine physique PILLON Platon Plotin politique positivisme premier principe professeur prophètes psychologie raison rapports réalité réel Reid religieuse religion rien saint saint Augustin science scientifique sens sensations sentiment serait seulement siècle sociale Spinoza substance synoptiques système texte théisme théologie théorie tion transsubstantiation universel vérité volonté volume vrai
Popular passages
Page 18 - Variétés, composés de documents inédits d'une étendue restreinte et de courtes notices sur des points d'histoire curieux ou mal connus. — III. Un Bulletin historique de la France et de l'étranger, fournissant des renseignements aussi complets que possible sur tout ce qui touche aux études historiques. — IV . Une analyse des publications périodiques de la France et de l'étranger, au point de vue des études historiques. — V. Des Comptes rendus critiques des livres d'histoire nouveaux.
Page 179 - ... conçois moi-même; c'est-à-dire que lorsque je fais réflexion sur moi, non seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète, et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis, mais je connais aussi, en même temps, que celui duquel je dépends, possède en soi toutes ces grandes choses auxquelles j'aspire, et dont je trouve en moi les idées, non pas indéfiniment et seulement en puissance, mais qu'il en...
Page 76 - Celui qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle, et je le ressusciterai au dernier jour : car ma chair est véritablement une nourriture,et mon sang est véritablement un breuvage.
Page 77 - Toutes choses m'ont été données par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n'est le Père ; personne non plus ne connaît le Père, si ce n'est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler.
Page 171 - Dieu est bien différente de celle qui est en nous, d'autant qu'il répugne que la volonté de Dieu n'ait pas été de toute éternité indifférente à toutes les choses qui ont été faites ou qui se feront jamais, n'y ayant aucune idée qui représente le bien ou le vrai , ce qu'il faut croire, ce qu'il faut fa ire ou ce qu'il faut omettre...
Page 198 - ... constitutifs de notre être. Là donc nous voyons, avec toutes les autres vérités, les règles invariables de nos mœurs; et nous voyons qu'il ya des choses d'un devoir indispensable, et que dans celles qui sont naturellement indifférentes le vrai devoir est de s'accommoder au plus grand bien de la société humaine.
Page 172 - que si Dieu avait établi ces vérités, il les pourrait changer comme un roi fait ses lois » ; à quoi il faut répondre que oui, si sa volonté peut changer. « Mais je les comprends comme éternelles et immuables »; et moi, je juge de même de Dieu.
Page 179 - Dieu se trouve contenue) par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même; c'est-à-dire que lorsque je fais réflexion sur moi, non seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète, et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis...
Page 15 - VÉRON (Eug.). * Histoire de la Prusse, depuis la mort de Frédéric II jusqu'à la bataille de Sadowa. 1 vol. in-12. 6" édit., augmentée d'un chapitre nouveau contenant le résumé des événements jusqu'à nos jours, par P.
Page 76 - C'est ici le pain qui est descendu du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. Je suis le pain vivant; si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, pour la vie du monde' ' .» Le scandale fut au comble: «Comment peut-il donner sa chair à manger?