bd.] Psychologische skizzen. 2. t. Ueber vermögen der menschlichen seele und deren allmälige ausbildungL. Oehmigke, 1827 |
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Aggregate Allgemeinen angeboren Band der Psychologischen Bedeutung Begriffe beiden Beneke Skizzen besonderen bestimmt bewegliche Bewußtseinstärke Bewußt Bewußtsein Bildung Bildungform Bildungmomente bloß chen cher daher denken denselben dieſe dung eben eigenthümlichen einander einfachen Einfluß Elemente Empfindungvermögen entstehn Erkenntniß ersten Band Erzeugung fich find finnlichen Empfindungen früher gebildet Gefühle gegeben geistigen gewiß gewisse gleich gleichartigen Grade größere Grunde Grundgebilde heit hiedurch hiezu höheren indem inneren Angelegtheit inwiefern keit Kraft Kräftigkeit Kraftvermögen läßt Lebendigkeit lehteren letteren lich lung Lust menheit Menschen menschlichen Seele mögen muß müſſen nåmlich Nothwendigkeit oben psychischen Entwickelung psychischen Gebilde Psychologischen Skizzen Reize Reizempfänglichkeit Reizungen schen Schluffe Seelensein Seelenthätigkeiten sehn ſein ſich sinnlichen sittlichen spåter Stärke Strebungen Thätigkeiten Theil Uebertragung unmittelbar unstreitig ursprünglich Urtheil Urvermögen Verbindung Verhältniß von Seele Verhältnisse Verknüpfung Vermögen Vers verschiedenen viel vielfach Vielraumigkeit Vollkommenheit Vorstellungen vorzüglich wahr Wahrnehmungen Weise weniger wickelung wirklich Wissenschaft wohl zugleich Zusam Zusammenbildung
Popular passages
Page 1 - It is sufficient for my purpose, if I have made it appear, that, in the production and conduct of the passions, there is a certain regular mechanism, which is susceptible of as accurate a disquisition, as the laws of motion, optics, hydrostatics, or any part of natural philosophy."13 Humes 'Untersuchung über die Prinzipien der Moral...
Page 1 - Homo enim naturae minister et interpres tantum facit et intelligit, quantum de naturae ordine, opere vel mente, observaverit : nee amplius scit, aut potest.
Page 594 - Mais, tant .que les principes demeureront inconnus, toute connoissance demeurera stérilement concentrée dans l'alchimie rationelle, dans la quelle on végète encore. — Voyez la chimie moderne; quel ancien chimiste reconnoîtroit sa science dans celle des Lavoisier et des Wollaston! Quelques principes ont suffi pour créer des mondes en chimie; mais en morale, où sont les principes capables d'étendre cette science?
Page 610 - ... en grande partie de l'impression antérieure des objets extérieurs, et que, modifiés continuellement par nos sens et par nos organes, nous portions sans nous en apercevoir, dans nos idées, dans nos sentiments, dans...
Page 587 - Nous connoissons nos facultes mentales par leur nom sans connoître leur lois , ni leurs nature. Le peu que nous savons de l'esprit humain nous le devons au langage ; c'est le langage , ce sont les mots qui nous apprennent qu'il y a un cœur , un esprit , une imagination , une intelligence. Sans ces mots nous n'en saurions rien. C'est du langage encore que nous avons appris que les idées et les sentimens e'toient deux choses.
Page 588 - ... lumineuses, en évitant les sentiers obscurs. Ce n'est jamais par les questions abstruses qu'on arrivera à la vérité , mais c'est toujours la lumière qui mène à la lumière. Il semble que les philosophes allemands ont un goût particulier pour les questions ténébreuses, et que, lorsqu'ils ont 'à opter entre une route bien éclairée et une route pleine d'obscurité, c'est toujours la dernière qu'ils préfèrent. Les Anglois, au contraire, ont une telle frayeur d'être accusé de faire...
Page 587 - L'intelligence aussi joue son rôle dans la mémoire comme par exemple dans l'analogie, cependant ce rôle est bien plus court que celui de l'imagination. > On voit par le perfectionnement du langage qu'une des règles de pratique les plus utiles en psychologie est de suivre dans cette science les traces lumineuses, en évitant les sentiers obscurs. Ce n'est jamais par les questions abstruses qu'on arrivera à la vérité , mais c'est toujours la lumière qui mène à la lumière. Il semble que les...
Page 595 - ... et retour*nées de mille manières , mais toujours les mêmes par le fond, à cause de la pauvreté des principes psychologiques. De là vient qu'on a de ce qu'on appelle les mœurs des idées encore vagues.