Studies in MontaigneMacmillan, 1904 - 290 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Apologie aprés assez Aulus Gellius autre avoir bien c'est Catherine de Bourbon celuy château de Montaigne choses Cicero d'estre d'une dequoy deux dict Dieu Diogenes Laertius dire doibt edition of 1595 elle enfans Essays esté estre eust façon faict faire faut grand heure hommes humeurs j'ay j'en jamais jugement jusques l'autre l'homme laisse Latin livre loix Lucretius m'en malade maux meilleure ment mesme meurs mieux monde Montaigne Montaigne's n'en n'est naturelles Nérac outre Pascal peine peut plaisir Plato plustost Plutarch poets prendre propre qu'à qu'elle qu'en qu'il qu'on qu'une que je quotations quotes quoy raison rien s'en s'il Sainte-Beuve says Sebond semble sens sentence seroit seul seulement Sextus Empiricus Socrates souvent Stobaeus style Tacitus taigne tantost temps thought tion tousjours tout translation trouve vanité verité veux visage voir vois volontiers vols Xenophon
Popular passages
Page 171 - In the morning sow thy seed, and in the evening withhold not thine hand: for thou knowest not whether shall prosper, either this or that, or whether they both shall be alike good.
Page 23 - The birds of heaven shall vindicate their grain. Thine* the- full harvest of the golden year? Part pays, and justly, the deserving steer: The hog that ploughs not, nor obeys thy call, Lives on the labours of this lord of all.
Page 168 - As thou knowest not what is the way of the spirit, nor how the bones do grow in the womb of her that is with child: even so thou knowest not the works of God who maketh all.
Page 251 - Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ; mais elles en font après le miel, qui est tout leur...
Page 167 - Seest thou a man wise in his own conceit? there is more hope of a fool than of him.
Page 42 - C'est ce qui nous rend incapables de savoir certainement et d'ignorer absolument. Nous voguons sur un milieu vaste, toujours incertains et flottants, poussés d'un bout vers l'autre. Quelque terme où nous pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte et, si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d'une fuite étemelle.
Page 40 - Le plus grand philosophe du monde, sur une planche plus large qu'il ne faut, s'il ya au-dessous un précipice, quoique sa raison le convainque de sa sûreté, son imagination prévaudra. Plusieurs n'en sauraient soutenir la pensée sans pâlir et suer.
Page 269 - Je diray encore cecy, ou hardiment ou témérairement, que cette vieille âme poisante ne se laisse plus chatouiller non seulement à l'Arioste, mais encores au bon Ovide ; sa facilité et ses inventions, qui m'ont ravy autresfois, à peine m'entretiennent elles à cette heure.
Page 144 - Je les y ay trouvées ineptes et dangereuses. Celuy qui va en la presse, il faut qu'il gauchisse, qu'il serre ses couddes, qu'il recule ou qu'il avance, voire qu'il quitte le droict chemin, selon ce qu'il rencontre; qu'il vive non tant selon soy que selon autruy, non selon ce qu'il se propose, mais selon ce qu'on luy propose, selon le temps, selon les hommes, selon les affaires *". Platon dict *" que qui eschappe brayes nettes du maniement du monde, c'est par miracle qu'il en eschappe.
Page 17 - Qui blâmera donc les chrétiens de ne pouvoir rendre raison de leur créance, eux qui professent une religion dont ils ne peuvent rendre raison...