| Michel Eyquem de Montaigne - 1649 - 1144 pages
...après. Ce n'eft non plus telon Platon, que fe* Jonmoy: puis que luy & rnoy l'entendons &Toyons de mefme. Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs, mais elles en font après le miel , qui eft tout leur ; ce o'cflt phi:hin, ny marjolaine: Air.il les pièces empruntées d'amtruy , il les... | |
| Michel de Montaigne - 1789 - 742 pages
...Ce n'eft non plus félon Platon, que félon moy : puifque luy & moy l'entendons & voyons de mefme. Les abeilles pillotent deçà delà les fleurs ,. mais elles en font après le miel, qui efl tout kur , ce n'eft plus thin , ny marjorlaine : Ainfi les pièces empruntées d'autruy , il les... | |
| 1812 - 578 pages
...lui , lors; .même qu'il emprunte (i) Montaigne. l'idée ! Les abeilles pillotent de ça et de là les fleurs , mais elles en font après le miel qui est tout leur , ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens... | |
| Villemain (M.) - 1812 - 60 pages
...même qu'il emprunte (i) Montaigne. l'idée ! Les abeilles pillotent de ça et de là les /leurs , mais elles en font après le miel qui est tout leur, ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens... | |
| Charles de Pougens - 1821 - 700 pages
...bout de leurs lèvres. MOHTAIG. , /•'!.(., 1. I , C. '.'.;(. Les abeilles vont pillotant deçà et delà les fleurs; mais elles en font après le miel qui est tout leur. In., ibid. , 1. I, ch. *5. Ils ne faut pas faire comme les bouquetières , qui pillaient par cy par... | |
| 1823 - 308 pages
...apprenne vos préceptes, il faut qu'il sache te les approprier; les abeilles pillaient de ça, de là, les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus thym ni marjolaine. Il faut faire aimer le précepte et le précepteur, on ne retient à soi que ce... | |
| Villemain (M.) - 1825 - 474 pages
...l'expression est toujours à lui, lors même qu'il emprunte l'idée ! Les abeilles pillottent de ça, de là, les fleurs ; mais elles en font après le miel qui est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi Montaigne. que les pensées et les images des... | |
| Villemain (M.) - 1825 - 458 pages
...lui, lors même qu'il emprunte l'idée ! Les abeilles pillottent de ça, de là, les fleurs ; jnais elles en font après le miel qui est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens,... | |
| Louis-Philippe de Ségur - 1826 - 408 pages
...apprenne vos préceptes , il faut qu'il sache se les approprier; les abeilles pillotent de ça de là les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus thym ni marjolaine. Il faut faire aimer le précepte et le précepteur ; on ne retient à soi que ce... | |
| François Noel - 1831 - 1832 pages
...et mettre au vent. » MOKTAIGKB, liv. i, ch. •-! J. •• Les abeilles pillaient de ça, de là les fleurs; mais elles en font après le miel qui est tout leur : ainsi les pièces empruntées d'autruy, il les faut transformer et confondre, pour on faire un ouvrage... | |
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