Fʹenelon & Mme Guyon: documents nouveaux et inʹeditsFrançois de Salignac de La Mothe- Fénelon, Jeanne Marie Bouvier de La Motte Guyon, Pierre-Maurice Masson Hachette, 1907 - 377 pages |
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10 octobre 11 août 11 juillet 15 juin 23 septembre âme avez Beauvillier Beynes Bossuet choses chrétiens et spirituels cœur comtesse de Montberon correspondance créature crois désappropriation Dieu veut dire divine donne duc de Chevreuse écrit édit enfant esprit état êtes Explication des Maximes Fénelon à Mme fragment d'autobiographie goût GUYON A FÉNELON Ier recueil Chevreuse inédite au duc infiniment Instructions intérieure j'ai jamais Jésus-Christ juillet juin l'abbé l'âme l'amour l'esprit laisser Lettre du 11 Lettre inédite lettre perdue lettre précédente Lettre VIII Lettre XXXVIII lettres de Fénelon lettres de Mme Lettres spirituelles loin lumière ment Mme de Maintenon Mme Guyon mort mouvement mystique n'ai Notre-Seigneur peine pensée personne pur amour Quiétisme quoiqu'il raison réponse répugnances reste rien sagesse saint sécheresse semble sens sentiment sera seul simple simplicité sorte souffrir souplesse souvent Texte de Dutoit trouve veux volonté de Dieu voulait
Popular passages
Page 367 - Jeune, j'étais trop sage Et voulais tout savoir. Je n'ai plus en partage Que badinage, Et touche au dernier âge Sans rien prévoir.
Page xxxviii - La Grèce entière s'ouvre à moi, le sultan effrayé recule ; déjà le Péloponèse respire en liberté, et l'Église de Corinthe va refleurir; la voix de l'apôtre s'y fera encore entendre. Je me sens transporté dans ces beaux lieux et parmi ces ruines précieuses, pour y recueillir, avec les plus curieux monuments, l'esprit même de l'antiquité.
Page 114 - Mais, à tous ceux qui l'ont reçu, il a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom, qui ne sont point nés du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.
Page 278 - Il n'arrive , dans ce qu'on appelle la mort , qu'un simple dérangement d'organes; les corpuscules les plus subtils s'exhalent; la machine se dissout et se déconcerte : mais en quelque endroit que la corruption ou le hasard en écarte les débris, aucune parcelle ne cesse jamais d'exister , et tous les philosophes sont d'accord pour supposer qu'il n'arrive jamais dans l'univers l'anéantissement du plus vil et du plus imperceptible atome. A quel propos craindraiton l'anéantissement de cette autre...
Page 1 - Comme au maillot je suis en grâce, Sans honte, sans crainte et sans loi. A peine je bégaie, Je ne sais pas mon nom. Je pleure, je ris, je m'égaie, Je ne crains que maman téton.
Page 319 - Oui je suis en paix et je vis heureux ; car ce seroit trop retomber sur soi et se chercher après s'être quitté : mais- c'est une image de l'état des bienheureux qui seront à jamais ravis en Dieu sans avoir pendant toute l'éternité un instant pour penser à euxmêmes et à leur bonheur. Ils...
Page 99 - Tous les sacrifices que les ames les plus désintéressées font d'ordinaire sur leur béatitude éternelle, sont conditionnels;.... mais ce sacrifice ne peut être absolu dans l'état ordinaire. Il n'ya que le cas des dernières épreuves , où ce sacrifice devient en quelque manière absolu, p.
Page 11 - Je la connus au commencement de l'année 1 689 , quelque temps après qu'elle fut sortie du monastère de la Visitation de la rue Saint-Antoine , et quelques mois avant que j'allasse à la cour.
Page 230 - Dieu, qui connaît mon besoin, quand je ne sais pas le connaître, m'envoie par vous. Il est vrai que, quand je reçois quelque instruction, je n'en ai point une joie sensible. C'est un acquiescement simple, quelquefois même froid et sec, mais doux, prompt, facile, paisible, et qui est du fond du cœur. Alors on pourrait se tromper sur ma disposition, car je crois avoir dit tout en disant oui. La brièveté des paroles ne me paraît point une sécheresse, au contraire, c'est la multitude des paroles...
Page 8 - Dieu luiavoit pourtant donné dans sa prison, et comme le fruit de ses travaux, un autre homme encore plus intime que le Père la Combe ; « et quelque grande que fût son union avec ce Père, celle qu'elle devoit avoir avec le dernier étoit encore toute autre chose.