Paris révolutionnaire, Volume 1Chez Guillaumin, 1833 |
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avaient avez besoin bien-être bras c'était cause chambre des pairs chant charbonnerie Charles X chiavel chose citoyen Legrand cœur COMÉDIEN comte de Rochechouart Danton Denis Diderot devant dévoûment DIDEROT drame écoles enfants Eugénie facultés FANCHON FANNY Farnet femme force révolutionnaire foule galité garde municipale génie gloire hommes humaine idées j'ai jamais jette jeunes jour juillet l'avenir L'AVOCAT l'égalité l'état social l'histoire l'homme L'HÔTESSE l'humanité Lambert liberté Louis XVI main malheureux Marat maréchal MARIE AYCARD masses MÉDECIN ment Michel Ney misère mômes monde Monsieur moyens nation noble noblesse Orosmane pable palais Palais-Royal Parisiens passé pensée père peuple philosophie politique prince prison progrès qu'un réaction régent républicain république reste révolution rien Royal royauté Sainte-Alliance Sainte-Pélagie scène sentiment moral serait seul siècle société soldats sort système système de Law tête théâtre tion toyens trône vices Vilson voilà voix
Popular passages
Page 73 - ... de nouvelles formes sociales , le sentiment religieux n'a pas été l'excitant le plus vif pour déterminer les actes nécessaires à ces transformations. Nous examinerons en même temps si ce sentiment ne s'est pas accru dans la même proportion que les actes mêmes qu'il produisait ; et si, par exemple, la foi chrétienne n'a pas été plus vive, plus agissante, et par conséquent plus civilisatrice que toutes les croyances qui l'avaient précédée.
Page 131 - Répondez, souverains : qui l'a dicté , ce pacte? Qui l'a signé , qui l'a souscrit ? Dans quel bois , dans quel antre en at-on dressé l'acte ? Par quelles mains fut-il écrit ? L'at-on gravé sur la pierre ou l'écorce? Qui le maintient? la justice ou la force? De droit , de fait , il est proscrit.
Page 132 - S'il osait de son cœur n'écouter que la voix, Changeant tout à coup de langage, II nous dirait, comme l'hôte des bois : « La nature n'a fait ni serviteur ni maître; « Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre, Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois.
Page 78 - Sur le fer, devant Dieu , nous jurons à nos pères , A nos épouses , à nos sœurs , A nos représentants , à nos fils , à nos mères , D'anéantir les oppresseurs. En tous lieux , dans la nuit profonde Plongeant la féodalité , Les Français donneront au monde Et la paix et la liberté.
Page 79 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 148 - Société centrale démocratique; 3e avec le comité central des élections générales. A vous de répondre à notre appel ; à vous de réfléchir qu'il s'agit en ce moment du salut ou de la ruine de la France; à vous de rester fermement convaincus que ceux qui osent aujourd'hui douter de la République n'amèneront que le désordre et l'anarchie. Frères! un dernier mot; car il ne s'agit pas seulement de Paris, mais encore des départements. Que ceux d'entre nous qui peuvent être utiles hors...
Page 48 - Aussitôt que Law arriva Dans notre bonne ville, Monsieur le Régent publia Qu'il serait fort utile Pour rétablir la nation, La faridondaine, la faridondon ; Mais il nous a tous enrichis, Biribi, A la façon de Barbari, Mon ami. Ce parpaillot pour attirer Tout l'argent de la France, Songea d'abord à s'assurer De notre confiance...
Page 65 - Paris qui en ait plus besoin, eu égard à leur grand nombre et à l'extrême pauvreté de leur maison, qui le plus souvent manque de pain ; l'honneur qu'ils ont d'être vos voisins leur fait espérer que vous leur accorderez l'effet...
Page 78 - ... aimables nœuds, Si pour s'unir un jour à notre destinée, Les citoyens forment des vœux, Qu'ils reviennent dans nos murailles, Beaux de gloire et de liberté Et que leur sang, dans les batailles, Ait coulé pour l'égalité.
Page 53 - Que la peste soit en Provence, Ce n'est pas notre plus grand mal ; Ce serait un bien pour la France Qu'elle fût au Palais-Royal. Le Régent fuira la crapule, Les chimistes et les devins, De sa fille aura des scrupules, Quand je cesserai d'aimer le vin.