Histoire de l'église: Depuis la fin de saint Grégoire le Grand en 604, jusqu'au commencement du schisme des Grecs en 858, Volume 4Chez Desclassan et Navarre, 1809 - 596 pages |
Common terms and phrases
abbé Anast Anastase anathème apostolique apôtres archevêque aussi-bien avaient barbares Bened c'est-à-dire calife canons Carloman catholique célèbre Charlemagne Charles chrétiens clercs clergé Clotaire Colomban Conc Constantin Constantinople culte diacre Dieu différens diocèse divine doctrine donner Ebroïn ecclésiastiques églises Elipand empereur enfans envoya établit Etienne Eutychiens faisait femme fidèles fils frère Fulde Grecs Grégoire Héraclius hérétiques honoré iconoclastes Jean Jesus-Christ jour jusqu'à l'an l'église romaine l'empereur l'empire l'épiscopat l'évêque l'hérésie laïques laissa légats Léon lettres Lombards long-temps Lothaire Luitprand martyrs ment monastère monastique mort mourut Musulmans n'avait nation nommé Northumbre ordonné palais pape patriarche pénitence Pépin pères personne peuple piété prélats premier prêtres prince prit règne religieux religion reliques rent reste rois Rome royaume s'était sacrés saint Boniface saint Colomban saint évêque saint Pierre saint siége saint Théodore saintes images Sarrasins Seigneur Sergius seul souverain pontife successeur sur-tout Théodulfe d'Orléans Theoph tion Tolède trouva vertus Vilfrid zèle
Popular passages
Page 493 - Je vous dis en vérité que tout ce que vous aurez lié sur la terre sera lié dans le ciel, et tout ce que vous aurez délié sur la terre sera délié dans le ciel.
Page 228 - l'image de saint Pierre, et j'en ferai enlever le « pape Grégoire chargé de fers, comme autrefois « Constance fit enlever Martin.
Page 135 - Chaque nature fait ce qui lui est propre, avec la participation de l'autre. Le Verbe opère ce qui convient au Verbe, et la chair ce qui convient à la chair; l'un brille par ses miracles , l'autre succombe aux mauvais traitements.
Page 89 - La chose est évidente , par la souscription même du souverain pontife , fidellement transcrite du coitcile , et conçue en ces termes : Martin , par la grâce de Dieu , évêque de la sainte église catholique et apostolique de...
Page 217 - Si les prophéties n'ont pas été accomplies par l'incarnation du Fils de Dieu, il ne faut pas peindre ce qui n'a pas été. Mais puisque tout s'est passé réellement...
Page 563 - Gotescalc, qui se dit prêtre de votre diocèse, est venu d'Italie à Mayence, séduisant les peuples par de nouvelles superstitions et une doctrine pernicieuse sur la prédestination. Il enseigne que Dieu prédestine au mal comme au bien, et qu'il ya des hommes qui ne peuvent se corriger de leurs Péchés ni de leurs erreurs, à cause de la prédestination qui les entraîne malgré eux à leur perte, comme si Dieu les avait créés incorrigibles et destinés à la damnation.
Page 261 - du royaume des cieux et les douze prêtres qui sont « à Rome ont fait des veilles de trois jours avec des « jeûnes et des prières jour et nuit.
Page 217 - II ne faut pas peindre ce qui n'a pas été, mais puisque dans l'incarnation du fils de Dieu tout s'est passé réellement, qu'il est né, qu'il a fait des miracles, qu'il a souffert, qu'il est ressuscité, plût à Dieu que le ciel, la terre, la mer, tous les animaux, toutes les plantes pussent raconter ces merveilles par la parole, l'écriture ou la peinture.
Page 416 - Ils eurent à ce sujet une longue conférence qui mérite d'être ici rapportée telle qu'elle nous a été couservée par l'abbé Smaragde, qui y assista. Les députés furent admis à l'audience du Pape dans la salle secrète de l'église de Saint-Pierre, et ils commencèrent par lire les témoignages recueillis des saints Pères pour montrer que le SaintEsprit procède aussi du Fils. Le Pape, les ayant...
Page 236 - ... cherché avec les autres lettres du même Pape , on ne l'ya point trouvé. Je vous demande aussi votre conseil sur une faute que j'ai commise, en permettant un mariage. Un homme ayant tenu un enfant au baptême, a épousé la mère devenue veuve. Les Romains disent que c'est un péché capital : ils ordonnent aux parties de se séparer, et assurent que, sous les empereurs chrétiens, ce mariage serait un crime digne d'une peine capitale , ou du moins d'être expié par un pélerinage perpétuel.