Répertoire du Théâtre français ...: composé des tragédies, comédies et drames des auteuers du second ordre, Volume 4J. Didot ainé, 1824 |
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ACTE Adieu AGATHON AGÉNOR aïeux aime ALBIONE allez amant AMINTE appas ARSINOÉ assez auroit avez avoit beau BEAUGÉNIE belle BOISLUISANT BONIFACE bonté Boursault BRIGANDEAU c'étoit CALVILLE CÉCILE chagrin charme chose ciel CLÉON CLÉONICE cœur COLINETTE courroux CRÉSUS crois d'Ésope demain desirs dessein dieux dire DORIS DOUCET doux ÉLISE époux ÉSOPE Est-ce êtes étoit EUPHROSINE fable femme fille flatter foible FURET grace GRIFFET homme honnête hymen IPHICRATE IPHIS j'ai J'aime j'aurois j'en jamais jour l'ame l'auteur du Mercure l'hymen LAÏS LÉARQUE LÉONIDE LISETTE LONGUEMAIN m'en madame malheur Mercure galant MERLIN MESNIL MICHAUT mieux Mme GUILLEMOT monsieur mordié MOTTE n'ai n'en ORIANE ORONTE parler paroît père Phrygie PIERROT plaisir PLEXIPE PREMIER COMÉDIEN procureur puis-je qu'un raison rendre Rhodope rien RISSOLE rois s'il vous plaît sais SANGSUE SCÈNE VII SECOND COMÉDIEN seigneur seroit seul soins sort TIRRÈNE tour du bâton TRASYBULE vais vertu veux Voilà vois voudrois yeux zèle
Popular passages
Page 35 - Mais combien en voit-on, banqueroutiers parfaits, Vivre du revenu des crimes qu'ils ont faits ! Pour un à qui l'on fait ces injures atroces, Plus de dix à Paris ont deux ou trois carrosses. Qu'un homme ait de bien clair jusqu'à cent mille écus, On...
Page 85 - J'enrage de bon cœur, quand je trouve un trigaud Qui souffle tout ensemble et le froid et le chaud. MERLIN. J'ai la raison pour moi, qui me fait vous reprendre, Et je vais clairement vous le faire comprendre. AI est un singulier dont le pluriel fait aux : On dit, c'est mon égal, et ce sont mes égaux; C'est l'usage.
Page 18 - Dépend-il de nous d'être de qualité? Quand on m'a voulu faire, ai-je été consulté? Sans savoir ce qu'il fait le hasard nous fait naître Et ne demande point ce que nous voulons être. Mon père fut d'un...
Page 32 - Cela n'est point folie: Un valet marié dont la femme est jolie, Et de qui le patron est bâti comme vous, A de justes raisons de paraître jaloux.
Page 18 - Je voudrais fort, monsieur, vous pouvoir obliger. Je puis à la noblesse ajouter quelque lustre, Et rappeler de loin une famille illustre: Mais dans tous mes écrits jamais aucun appas Ne m'a fait anoblir ce qui ne l'était pas.
Page 209 - Les fossés du château sont tout pleins de grenouilles Qui par méchanceté lui font un si grand bruit Qu'il ne dort pas un brin tant que dure la nuit. Par un papier qu'il a, griffonné d'un notaire, II veut, bon gré, mal gré, que je. les faisions taire, Et, faute jusqu'ici d'empêcher leur cancan, Chaque maison du bourg paye un écu par an : C'est un dogue affamé, qui toujours mord et ronge.
Page 101 - Je suis un invisible corps Qui de bas lieu tire mon être, Et je n'ose faire connaître Ni qui je suis, ni d'où je sors. Quand on m'ôte. la liberté, Pour m'échapper j'use d'adresse, Et deviens femelle traîtresse, De mâle que j'aurais été.
Page 44 - Leur bien représenter qu'il y va de leur gloire , Qu'on revit dans les miens mieux que dans une histoire ; Le prouver par raisons; et leur faire espérer Qu'ils auront du plaisir à se faire enterrer. Vous voyez bien, monsieur, que rien n'est plus facile.
Page 336 - Mais de tous ses conseils le plus charmant pour moi, Madame, c'est celui que son zèle me donne De vous sacrifier Argie et sa couronne, Plus heureux d'être esclave en de si beaux liens Que de me voir un jour maître des Phrygiens.
Page 14 - C'est de voir tant de gens dire tant de sottises : Licidas est le seul, délicat comme il est, Qui puisse avec tunt d'art démêler ce qui plaît. Depuis deux ou trois jours que je le représente, Je ne vois que des fous d'espèce différente : L'un, qui veut qu'on l'imprime, et n'a point d'autre but...