| René François Rohrbacher - 1842 - 604 pages
...-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément ; elle lui dit : Frappez; mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. Eh bien ! l'Église n'est... | |
| Pietro Scavini - 1853 - 672 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme , si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément ; elle lui dit : Frappez , mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. Eh bien ! l'Église n'est... | |
| Eugène de Mirecourt - 1857 - 680 pages
...faiblesse même fait sa force insurmontable. Quand un homme est condamné à battre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément; elle lui dit : Frappez ! mais vous vous déshonorez et vous ne vaincrez pas! Eh bien, l'Église n'est pas... | |
| René François Rohrbacher, Auguste-Henri Dufour - 1857 - 874 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément ; elle lui dit : Frappez ; mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. Eh bien ! l'Église n'est... | |
| Charles Forbes comte de Montalembert - 1860 - 668 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément. Elle lui dit : Frappez, mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. (Très-bien! très-bien!)... | |
| Charles Forbes comte de Montalembert - 1860 - 670 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément. Elle lui dit : Frappez, mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. (Très-bien! très-bien!}... | |
| Charles Forbes comte de Montalembert - 1860 - 674 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément. Elle lui dit : Frappez, mais vous vous déshonorerez, et vous ne me vaincrez pas. (Très-bien! très-bien!}... | |
| Félix Dupanloup - 1860 - 684 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme « est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est ( pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément; « elle lui dit ; Frappez, mais vous vous déshonorerez, et vous « ne me vaincrez pas. (Très-bien ! très-bien!)... | |
| Félix Antoine P. Dupanloup (bp. of Orleans.) - 1860 - 760 pages
...Permettez-moi une comparaison familière. Quand un homme c est condamné à lutter contre une femme, si cette femme n'est « pas la dernière des créatures, elle peut le braver impunément ; t elle lui dit: Frappez, mais vous vous déshonorerez, et vous f ne me vaincrez pas. (Très-bien... | |
| Romani pontefici - 1861 - 1362 pages
...celle comparaison familière : « Quand un homme est condamné à lutter contre une femme, si celle femme n'est pas la dernière des créatures , elle peut le braver impunément : elle 1ш dit: Frappez, mais vous vous déshonorerez, el vous ne me vaincrez pas. Eh bien! l'Église n'est... | |
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