| Emile Ollivier - 1903 - 716 pages
...Mexique déjà trop prolongée. Pour tant Lamartine écrivait: «Je necrains pas de le dire hautement. La pensée de la position à prendre par nous au Mexique...l'Océan, neuve comme l'à-propos, une pensée d'homme d'État, féconde comme l'avenir, une pensée de salut pour l'Amérique et pour le monde. Le premier... | |
| Emile Ollivier - 1903 - 682 pages
...Mexique déjà trop prolongée. Pourtant Lamartine écrivait: «Je ne crains pas de le dire hautement. La pensée de la position à prendre par nous au Mexique...la nécessité, vaste comme l'Océan, neuve comme Tà-propos, une pensée d'homme d'État, féconde comme l'avenir, une pensée de salut pour l'Amérique... | |
| Emile Ollivier - 1900 - 392 pages
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| 1988 - 306 pages
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| Henri Guillemin - 1973 - 412 pages
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