| François-René de Chateaubriand - 1836 - 392 pages
...plébéienne, accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...lion, bâillait comme un lion, se mettait sur le flanc common un lion ennuyé, et rêvait apparement de sang et de forets : son intelligence était du genre... | |
| François-René de Chateaubriand, François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 396 pages
...plébéienne, accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, semettait sur le flanc comme un lion ennuyé , et rêvait apparemment de sang et de forêts : son intelligence... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1836 - 420 pages
...plébéienne , accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...pas plus qu'un lion , il se grattait comme un lion, baillait comme un lion , se mettait 'sur le flanc comme un lion ennuyé, et rêvait apparemment de... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 592 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paroissoit n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. Il ne parloit pas plus qu'un lion ; il se grattoit comme un lion , báilloit comme un lion, se mettoit sur... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 388 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...ennuyé, et rêvait apparemment de sang et de forêts. Quels hommes dans tous les partis que les Français d'alors, et quelle race aujourd'hui nous sommes... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 776 pages
...plébéïenne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. II ne parlait pas plus qu'un lion ; il se grattait comme un lion, bâillait comme un lion, se mettait... | |
| Pitre-Chevalier - 1851 - 786 pages
...plébéienne, accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa main et do l'intrépidité de son cœur. Il ne parlait pas plus qu'un lion; il se grattait comme un lion, bâillait... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 816 pages
...plébéienne accoutumée à s'estimer et à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paroissoit n'être en lui que la conscience de la force de sa main et de l'intrépidité de son cœur. 11 ne parloit pas plus qu'un lion ; il se grattoit comme un lion, bâilloit comme un lion, se met toit... | |
| Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1894 - 524 pages
...plébéienne, accoutumée a s'estimer, à se faire justice. Le sentiment de sa liberté paraissait n'être en lui que la conscience de la force de sa...son intelligence était du genre de celle de la mort Les Vendéens députaient vers les exilés; les géants envoyaient demander des chefs aux pygmées.... | |
| |