| Arthur Beugnot - 1835 - 524 pages
...aliments destinés à la chasteté sacrée pour les donner à de misérables porteurs de litières1. La famine se fit bientôt sentir, une triste récolte...était pas à la terre ; nous n'avons rien à reprocher au* astres; ce n'est pas la nielle qui a détruit le blé, ni l'ivraie qui a étouffé les moissons... | |
| Arthur Beugnot - 1835 - 528 pages
...priviléges; ils en jouirent jusqu'à l'instant où de vils trésoriers détournèrent les aliments destinés à la chasteté sacrée pour les donner...ni l'ivraie qui a étouffé les moissons : c'est le sacrilége qui a desséché le solb. Il fallut périr parce qu'on avait refusé à la religion ce qui... | |
| Arthur Beugnot - 1835 - 524 pages
...donner à de misérables porteurs de litières*. La famine se fit bientôt sentir, une triste rccolte vint trahir l'espoir des provinces. La faute n'en...les moissons : c'est le sacrilège qui a desséché îe solb. Il fallut périr parce qu'on avait refusé à la religion ce qui lui était dû. Si on trouve... | |
| comte Arthur Auguste Beugnot - 1835 - 526 pages
...donner à de misérables porteurs de litières". La famine se fit bientôt sentir, une triste réeolte vint trahir l'espoir des provinces. La faute n'en...ni l'ivraie qui a étouffé les moissons : c'est le sacrilége qui a desséché le sol". Il fallut périr parce qu'on avait refusé à la religion ce qui... | |
| Jean-Pierre Charpentier - 1853 - 440 pages
...Symmaque, l'inclémence des cieux : « La famine se fit bientôt sentir; une triste récolte trahit l'espoir des provinces. La faute n'en était pas à...nielle qui a détruit le blé , ni l'ivraie qui a étouffe les moissons ; ce qui a desséché le sol, c'est le sacrilége. » Et Symmaque conclut par... | |
| Jean Pierre Charpentier - 1853 - 1100 pages
...« La famine se fit bientôt sentir ; une triste récolte trahit l'espoir des provinces. La faitte n'en était pas à la terre; nous n'avons rien à...le blé , ni l'ivraie qui a étouffé les moissons; ce qui a desséché le sol, c'est le sacrilége. » Et Symmaque conclut par ces mots : « Le respect... | |
| Gaston Boissier - 1894 - 478 pages
...en sait la cause, et il est heureux de nous la dire : « Si la moisson a manqué, la faute n'en est pas à la terre ; nous n'avons rien à reprocher aux...qui a détruit le blé, ni l'ivraie qui a étouffé la bonne herbe : c'est le sacrilège qui a desséché le sol, sacrilegio annus exaruit. » Les dieux... | |
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