Histoire de la médecine arabe, Volume 2

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E. Leroux, 1876 - 526 pages
 

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Page 377 - Israelita philosophus gratum debitae servitudinis obsequium ... hunc igitur librum vobis praecipientibus et me singula verba vulgariter proferente. et Dominico archidiacono singula in latinum convertente, ex arabico translatum, in quo quidquid Aristoteles dixit libro suo de anima et de sensu et sensato, et de intellectu et intellecto, ab auctore libri scias esse collectum. Unde postquam Deo volente hunc habueritis, in hoc illos tres plenissime vos habere non dubitetis».
Page 372 - Hune igitur librum vobis praecipientibus, et me singula verba vulgariter proferente, et Dominico Archidiacono singula in latinum convertente, ex arabico translatum in quo quidquid Aristoteles dixit libro suo de anima , et de sensu et sensato, et de intellectu et intellecto, ab autore libri scias esse collectum. Unde pnsiifuam, Deo volenle, hunc habueritis, in hoc illos tres plenissime vos habere non dubitetis.
Page 102 - Quant à la barbarie du langage d'Averroès, peut-on s'en étonner quand on songe que les éditions imprimées de ses œuvres n'offrent qu'une traduction latine d'une traduction hébraïque d'un commentaire fait sur une . traduction arabe d'une traduction syriaque d'un texte grec...
Page 78 - Bibliothèque royale (manuscr. de l'Oratoire, n° lit), contient des réflexions sur le premier mobile dans l'homme, ou sur ce qui donne l'impulsion à l'homme intellectuel , et sur le véritable but de l'existence humaine et de la science (qui est de s'approcher de Dieu et de recevoir...
Page 167 - Du jour je lui dis: Si l'âme est immortelle, et que par là elle connaisse, après la mort, l'état de tout ce qui existe en dehors d'elle, fais un pacte avec moi que tu m'apparaîtras si tu meurs avant moi, et que je t'apparaîtrai si je meurs avant toi.
Page 276 - C'était une maladie maligne et aiguë, que les contempo rains voyaient pour la première fois, dont on ne trouvait aucune mention chez les anciens et que l'on ne savait comment traiter. Contrairement aux autres maladies, elle débutait sans prodromes, saisissant le cheval debout et mangeant.
Page 167 - ... est, et moi, si je meurs avant toi, je ferai de même. Nous reçûmes nos promesses réciproques. Il mourut et se fit attendre quelques années. Enfin, je le vis en songe : « Médecin, lui dis-je, n'étions-nous pas convenus que tu viendrais me faire part de tes aventures d'outre-tombe...
Page 98 - Ce livre a non-seulement dégagé la figure d'Averroès des ténèbres qui l'enveloppaient, mais il nous donne le récit aussi neuf qu'intéressant de ses doctrines à travers les siècles. En même temps qu'il nous fournira des documents sérieux et nous épargnera quelques recherches, il nous permettra de glisser sur certains points qui n'intéressent pas particulièrement l'histoire de la médecine. Averroès naquit à Cordoue en 1126 de notre ère, d'une famille honorable de jurisconsultes.
Page 185 - ... inférieure. Tous les anatomistes s'accordent à dire que cette mâchoire est composée de deux os qui sont fermement réunis vers le menton : quand je dis tous les anatomistes, c'est comme si je disais Galien tout seul ; car c'est lui seul qui a pratiqué personnellement les opérations anatomiques, qui en a fait l'objet particulier de son étude et de ses recherches, et qui a composé sur cette matière plusieurs ouvrages, dont nous possédons les principaux, les autres n'ont pas été traduits...
Page 269 - Erridlul qui en administra à Mamoun. Il parle ensuite des habitudes. Parmi les auteurs cités les plus récents, nous avons remarqué les noms d'Ebn el Beithâr et d'Ebn en Nefis. On rencontre aussi le nom de son maître, Noman, qui lui donne le traitement des affections articulaires comme une des choses les plus graves de la médecine. En somme, cet ouvrage annonce un praticien zélé et sérieux, ayant une haute opinion de son art. Le Sahib Elloboudy composa aussi un traité sur les rhumatismes,...

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