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VII. Comment remédier aux maux de la société ?
La médication religieuse et la solution chré-
tienne. Comment le plus sûr moyen de

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guérir les plaies sociales serait de restaurer
dans le peuple l'idée chrétienne.

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Que, sur

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droits de l'homme et du citoyen.

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Qu'il est
faux que le christianisme ne reconnaisse à
l'homme et aux peuples que des devoirs.
Limites qu'imposent à l'autorité et à l'action de
l'État les droits reconnus à l'individu et à la
famille. Comment c'est à la liberté et aux
institutions nées de la liberté que l'Église
demande, de préférence, la solution des ques-
tions sociales. Comment il ne faut pas
toujours identifier la liberté avec l'individua-
lisme.

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liques à cet égard. Attitude du saint-siège
devant les desiderata du programme ouvrier. —
Réserve du pape.

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Le repos hebdomadaire

et l'observation du dimanche.

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Les heures

de travail, la journée « normale » et la journée
<< maximale ». Le taux du salaire et le sa-
laire minimum.

«

Léon XIII.

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La théorie des salaires de

- Est-il vrai que cette théorie est
en opposition avec les doctrines économiques?
Comment se fait jour partout le peu de
goût du saint-siège pour l'ingérence de l'État.

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XII. D'une législation sociale internationale. - Silence
à cet égard de l'encyclique sur la condition
des ouvriers. Comment le saint-siège cepen-
dant ne peut avoir aucune objection de prin-
cipe contre une pareille législation. - Différence
sous ce rapport entre la papauté et les États
temporels. De l'action internationale de
l'Église et du christianisme.— Comment pour
le progrès social une législation internationale
n'est pas indispensable. Que nous sommes
portés à trop attendre de la loi.

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XIII. De l'association comme remède aux maux des

sociétés.

Action des catholiques en faveur

du rétablissement des corporations ouvrières.

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