| Charles Rollin - 1805 - 622 pages
...l'Etat. Ils furent (a) , dit Plutarqwe, assez imprudens et assez aveugles de croire qu'il suffisait de placer comme en sentinelle à la porte des maisons la loi et la crainte du supSlice , pour empêcher l'or et l'argent 'y entrer j pendant qu'ils laissaient le cœur de leurs... | |
| Jacques-Corentin Royou - 1811 - 610 pages
...valeur ! Les Lacédémoniens , dit Plutarque , furent assez imprudens pour croire qu'il suffisoit de placer comme en sentinelle à la porte des maisons...la loi et la crainte du supplice , pour empêcher l'ov d'y pénétrer , tandis qu'ils laissoient les coeurs ouverts au désir et à l'admiration des... | |
| Charles Rollin - 1819 - 742 pages
...l'état. ' Ils furent, dit Plutarque, assez imprudens et assez aveugles de croire qu'il suffisoit de placer comme en sentinelle à la porte des maisons...pendant qu'ils laissoient le cœur de leurs citoyens ouverts à l'admiration et au désir des richesses ; et qu'ils y introduisoient eux-mêmes une violente... | |
| Charles Rollin - 1821 - 574 pages
...particulier de la nouvelle monnaie, furent assez imprudents et assez aveugles pour croire qu'il suffisait de placer comme en sentinelle à la porte des maisons...empêcher l'or et l'argent d'y entrer , pendant qu'ils laissaient le cœur de leurs citoyens ouvert à l'admiration et au desir des richesses , et qu'ils... | |
| Charles Rollin - 1821 - 574 pages
...particulier de la nouvelle monnaie, furent assez imprudents et assez aveugles pour croire qu'il suffisait de placer comme en sentinelle à la porte des maisons...empêcher l'or et l'argent d'y entrer , pendant qu'ils laissaient le cœur de leurs citoyens ouvert à l'admiration et au desir des richesses, et qu'ils y... | |
| 1838 - 626 pages
...trouverait saisi serait mis à mort sur- le -champ. s C'était en vain, dit Plutarque, qu'on plaçait comme en sentinelle à la porte des maisons la loi...pour empêcher l'or et l'argent d'y entrer, pendant qu'on laissait le cœur des citoyens ouvert à l'ambition et au désir des richesses (2). » Le particulier... | |
| Société des études historiques - 1838 - 604 pages
...trouverait saisi serait mis à mort sur- le -champ. « C'était en vain, dit PI ut arque, qu'on plaçait comme en sentinelle à la porte des maisons la loi...pour empêcher l'or et l'argent d'y entrer, pendant qu'on laissait le cœur des citoyens ouvert à l'ambition et au désir des richesses (2). » Le particulier... | |
| 1838 - 626 pages
...trouverait saisi serait mis à mort sur- le -champ. « C'était en vain, dit Plutarque, qu'on plaçait comme en sentinelle à la porte des maisons la loi...pour empêcher l'or et l'argent d'y entrer, pendant qu'on laissait le cœur des citoyens ouvert à l'ambition et au désir des richesses (2). » Le particulier... | |
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