Nous la trouvâmes fort gaie ; l'univers s'étant chargé de se souvenir de Napoléon, elle n'avait plus la peine d'y songer. Nous lui dîmes que nous avions rencontré ses soldats à Plaisance et qu'elle en avait autrefois davantage ; elle répondit... Mémoires du marquis de Boissy, 1798-1866 - Page 156by Hilaire Étienne Octave Rouillé Boissy (marquis de).) - 1870 - 690 pagesFull view - About this book
| Henry Brougham Baron Brougham and Vaux - 1841 - 350 pages
...Napoleon, elle n'avait plus la peine d'y songer. Nous lui dimes que nous avions rencontre ses soldats a Plaisance, et qu'elle en avait autrefois d'avantage; elle répondit: " Je ne songe plus a cela." Elle prononca quelques mots legers, et comme en passant, sur le roi de Rome: elle fetait grosse.... | |
| François-René de Chateaubriand - 1851 - 528 pages
...Parme ; elle insista, et nous y allâmes. Nous la trouvâmes fort gaie : l'univers s'étant chargé "dp se souvenir de Napoléon, elle n'avait plus la peine...quelques mots légers, et comme en passant, sur le roi de Rome : elle était grosse. Sa cour avait un certain air délabré et vieilli, excepté M. Nieperg,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1861 - 706 pages
...d'y songer. Nous lui dîmes que nous avions rencontré ses soldats à Plaisance, et qu'elle en avoit autrefois davantage ; elle répondit : •< Je ne...cela. » Elle prononça quelques mots légers, et commeen passant, sur le roi de Rome : elle étoit grosse. Sa cour avoit un certain air délabré et... | |
| Edmond Henri Adolphe Scherer - 1866 - 404 pages
...raconté l'entrevue : « Nous la trouvâmes fort gaie : l'univers s'étant chargé de se souvenir do Napoléon, elle n'avait plus la peine d'y songer....quelques mots légers et comme en passant sur le roi de Rome. Elle était grosse. Sa cour avait un certain air délabré et vieilli, excepté M. Nieperg,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1866 - 536 pages
...l'archiduchesse de Parme; elle insista, et nous y allâmes. Nous la trouvâmes fort gaie : l'univers s'étant chargé de se souvenir de Napoléon, elle n'avait...qu'elle en avait autrefois davantage ; elle répondit : o Je ne songe plus à cela. » Elle prononça quelques mots légers et comme en passant, sur le roi... | |
| Hilaire Étienne Octave Rouillé marquis de Boissy - 1870 - 732 pages
...peine d'y songer. Nous lui dîmes que nous avions rencontré ses soldais à Plaisance, et qu'elle pn avait autrefois davantage; elle répondit : — «...ne songe plus à cela. » Elle prononça quelques mois légers ct comme en passant sur le roi de Rome ; elle était grosse. Sa cour avait un certain... | |
| Edmond Henri Adolphe Scherer - 1885 - 406 pages
...n'avait plus la peine d'y songer. Nous lui dîmes que nous avions rencontré ses soldats à.Plaisance, et qu'elle en avait autrefois davantage ; elle répondit...quelques mots légers et comme en passant sur le roi de Rome. Elle était grosse. Sa cour avait un certain air délabré et vieilli, excepté M. Nieperg,... | |
| 1887 - 1000 pages
...peu; il la trouva fort gaie : « L'univers s'était chargé du souvenir de Napoléon, elle n'avait pas la peine d'y songer. Nous lui dîmes que nous avions...quelques mots légers et comme en passant sur le roi de Rome. » Marie-Louise avait eu, dès sa petite jeunesse, une correspondance réglée avec la comtesse... | |
| Gabriel Pailhès - 1896 - 636 pages
...l'archiduchesse de Parme; elle insista et nous y allâmes. Nous la trouvâmes fort gaie : l'univers s'étant chargé de se souvenir de Napoléon, elle n'avait...à cela. » Elle prononça quelques mots légers et en passant sur le roi de Rome : elle était grosse. Sa cour avait un certain air délabré et vieilli,... | |
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