Histoire des révolutions du langage en France |
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Popular passages
Page 468 - Avril, la grâce, et le ris De Cypris, Le flair et la douce haleine: Avril, le parfum des Dieux, Qui des cieux Sentent l'odeur de la plaine. C'est toy courtois et gentil, Qui d'exil Retires ces passagères, Ces arondelles qui vont, Et qui sont Du printemps les messagères.
Page 361 - Apres, à mon imitation, tu feras tes vers masculins et fœminins tant qu'il te sera possible, pour estre plus propres à la musique et accord des instrumens, en faveur desquels il semble que la Poésie soit née, car la Poésie sans les instrumens, ou sans la grâce d'une seule ou plusieurs voix, n'est nullement agréable, non plus que les instrumens sans estre animez de la mélodie d'une plaisante voix.
Page 56 - Beatus vir qui non abiit in consilio impiorum et in via peccatorum non stetit et in cathedra pestilentiae non sedit 2.
Page 425 - O bienheureux malheur, plein de tant d'avantage, Qu'il rende le vaincu des ans victorieux!
Page 455 - MAROT, par son tour et par son style, semble avoir écrit depuis RONSARD : il n'ya guère entre ce premier et nous que la différence de quelques mots.
Page 231 - C'est à sçavoir, moins se soucier et moins se travailler, et entreprendre moins de choses, et plus craindre à offenser Dieu et à persécuter le peuple...
Page 425 - Le Ciel fut son désir, la Mer sa sépulture: Est-il plus beau dessein, ou plus riche tombeau?
Page 494 - Tantôt la plus claire du monde, Elle semble un miroir flottant, Et nous représente à l'instant Encore d'autres cieux sous l'onde. Le soleil s'y fait si bien voir, Y contemplant son beau visage, Qu'on est quelque temps à savoir Si c'est lui-même, ou son image, Et d'abord il semble à nos yeux Qu'il s'est laissé tomber des cieux.
Page 230 - Et s'il n'eust eu la nourriture autre que les seigneurs que j'ay vu nourrir en ce royaume, je ne croy pas que jamais se fust ressours; car ils ne les nourrissent seulement qu'à faire les fols en habillemens et en paroles.
Page 229 - ... beaucoup, car il estoit assez craintif de sa propre nature. Et quand pour parler il avoit...