| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - 1833 - 704 pages
...Je vis bien qu'il ne parlerait plus de lui-môme, et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, dis-je, comme s'il eût fini son...comme une malheureuse mécanique, malgré son cœur. En même temps, il tira de sa poche un mouchoir rouge dans lequel il se mit à pleurer comme un enfant.... | |
| 1836 - 432 pages
...Je vis bien qu'il ne parlerait plus de lui-même, et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, dis-je, comme s'il eût fini son...prenne son métier en horreur. — Oh! le métier, êtes vous fou! me (Kt-il brusquement, ce n'est pas le métierl Jamais le capitaine d'un bâtiment... | |
| 1837 - 664 pages
...ne parlerait plus de lui-même et qu'il fallait me résoudre à questionner. Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...gouvernemens d'assassins et de voleurs, qui profiteront de l'habitnde qu'a un pauvre homme d'obéir aveuglément, d'obéir toujours, d'obéir comme une malheureuse... | |
| Alfred de Vigny - 1837 - 530 pages
...parlerait plus de luimême et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...obligé d'être un bourreau, sinon quand viendront des gouvernements d'assassins et de voleurs, qui profiteront de l'habitude qu'a un pauvre homme d'obéir... | |
| Régis de Trobriand - 1860 - 362 pages
...parlerait plus de lui-même et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...obligé d'être un bourreau, sinon quand viendront des gouvernements d'assassins et de voleurs, qui profiteront de l'habitude qu'a un pauvre homme d'obéir... | |
| Alfred de Vigny - 1857 - 270 pages
...parlerait plus de lui-même, et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...capitaine d'un bâtiment ne sera obligé d'être un bpjyirre.au, sinon quand viendront des gouvernements d'assassins et de voleurs, qui profiteront de... | |
| Alphonse de Lamartine - 1863 - 504 pages
...— Je comprends bien, lui dis-je, comme « s'il eût fini son histoire, qu'après une aven« tare aussi cruelle on prenne son métier en « horreur....dit-il « brusquement, ce n'est pas le métier! Jamais K le capitaine d'un bâtiment ne sera obligé 'e d'être un bourreau, sinon quand viendront « des... | |
| Alfred de Vigny - 1865 - 372 pages
...parlerait plus de lui-même, et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...obligé d'être un bourreau, sinon quand viendront des gouvernements d'assassins et de voleurs, qui profiteront de l'habitude qu'a un pauvre homme d'obéir... | |
| Alfred de Vigny - 1872 - 368 pages
...parlerait plus de lui-même, et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...cruelle on prenne son métier en horreur. — Oh! le-métier; êtes-vous fou? me dit-il brusquement, ce n'est pas le métier! Jamais le capitaine d'un... | |
| Alfred de Vigny - 1890 - 72 pages
...parlerait plus de lui-même,8 et qu'il fallait me résoudre à questionner. — Je comprends bien, lui dis-je, comme s'il eût fini son histoire, qu'après...une aventure aussi cruelle on prenne son métier en horreur.9 -3- Oh ! le métier ; êtes-vous fou ? me dit-il brusquement, ce n'est pas le métier ! Jamais... | |
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