Histoire des révolutions de la philosophie en France pendant le moyen âge jusqu'au seizième siècle, précédée d'une intr. sur la philosophie de l'antiquité et de celle des premiers temps du christianisme, Volume 2 |
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Common terms and phrases
Abailard appelé assez auteurs avant avons bonne cause célèbre Champeaux Chartres choses composé concile condamnation connaissance considérer d'Abailard d'après d'Aristote d'autres dernier devait dialectique Dieu différents disciples divine docteur doctrine dogmes doit donner doute douzième siècle écoles écrits élèves enseignement ensuite époque espèce esprits expliquer fond forme générales genre grec Guillaume Hist hommes Hugues humaine idées Jean de Salisbury jour juger l'âme l'école l'Eglise l'esprit l'histoire l'homme lettre litt livre logique Lombard lui-même maître manière matière ment monde moyen nature naturelle nombre nominalisme nouveau nouvelle occupé œuvres ouvrages pape parler particulier péché pensée Pères personnes philosophie Pierre place Platon porte poser premier présente propre qu'un quæ question quod raison rapport religieux remarquable reste rien Roscelin s'il saint Bernard Saint-Victor savoir science scolastique sens sentences serait servir seul siècle Socrate sorte suite suivant sujet système théologie tion traité trouve universaux vérité voie
Popular passages
Page 140 - Ec« clesia non vacua nomina tantum sed res dis« tinctas suisque proprietatibus discretas, hacrf tenus et pie credidit et fideliter docuit nimis « attenuans, non bonis usus exemplis, inter cse« tera dixit : Sicut eadem oratio est propositio, « assumptio et conclusio, ita eadem essentia est « Pater et Filius et Spiritus sanctus.
Page 19 - Mox de generibus et speciebus illud quidem sive subsistant sive in solis nudis intellectibus posita sint, sive subsistentia corporalia sint an incorporalia, et utrum separata a sensibilibus an in sensibilibus posita, et circa haec consistentia, dicere recusabo.
Page 134 - ... différer entre elles, mais encore se contredire , « il ne faut pas juger témérairement ceux qui « doivent un jour juger le monde, puisqu'il est « écrit: Les saints jugeront les nations, etailleurs: « Vous serez les juges. Nous ne voulons accuser « de mensonge ni d'erreur ceux dont le Seigneur « a dit : Celui qui vous écoute m'écoute; celui qui « vous méprise me méprise. Nous supposerons « donc que la grâce de bien entendre nous a « manqué, plutôt que de croire que celle de...
Page 179 - Dieu même; 2° que les propriétés des personnes divines n'étaient pas les personnes mêmes; 3° que les attributs divins ne concernent pas les personnes divines; 4° que la nature divine ne s'est point incarnée, mais seulement la personne du Verbe ; 5° qu'il n'ya pas d'autres mérites que ceux de Jésus-Christ, et qu'enfin le baptême n'est réellement conféré qu'à ceux qui doivent être sauvés (c). Là, comme dans le procès d'Abailard, saint Bernard joua le rôle d'accusateur ; mais il...
Page 421 - Ils prétendaient établir que tout est absolument un, »que toutes les choses ne diffèrent qu'aux yeux «des sens, ou suivant les diverses considérations » dans l'esprit ; tel fut en particulier le système de • Parménide. Plusieurs modernes ont suivi à cet » égard les traces des anciens, et dans leur nombre «nous comptons David de Dinant.
Page 102 - Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et qui êtes chargés, et je vous soulagerai. 29. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de moi que je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos de vos âmes-, 30.
Page 76 - ... convocation. Comme ni mes paroles ni l'écrit qu'ils avaient sous les yeux ne leur fournissaient matière à m'incriminer, il y eut une espèce de silence, et mes détracteurs étaient déjà moins hardis, lorsque Geoffroy, évêque de Chartres, à qui sa réputation de sainteté et l'importance de son siége donnaient la prééminence sur les autres évêques, prit la parole en ces termes : «Vous savez tous, messeigneurs ici présents, que la...
Page 421 - ... et celui des substances éternelles, dont la première est Dieu. David considère ces trois principes comme identiques entre eux; on le voit par ce qu'en dit saint Thomas d'Aquin, dans son Commentaire sur le Maître des sentences, où il s'exprime ainsi : « Ce fut une erreur « introduite par quelques philosophes de l'an« tiquité, que de considérer Dieu comme l'essence
Page 72 - Dieu un traité à l'usage de mes disciples, qui demandaient sur ce sujet des démonstrations tirées de l'ordre humain et philosophique, et auxquels il fallait des idées intelligibles plutôt que des mots sonores. Ils disaient qu'il est inutile de parler pour n'être pas compris, qu'on ne peut croire que ce que l'on comprend, et qu'il est ridicule de voir un homme prêcher aux autres ce que ni lui ni ceux qu'il veut instruire ne peuvent comprendre. Le Seigneur lui-même ne se plaignait-il pas que...
Page 158 - illos qui persequebantur Christum vel suos, « quos persequendos credebant, per operationem « peccasse dicimus, qui tamen gravius culpam » peccassent, si contra conscientiam eis parce...