The common sense method of teaching French, by H. Pooley and K. Carnie, Part 1

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Page 68 - Six. 7 Sept. 8 Huit. 9 Neuf. 10 Dix. 11 Onze. 12 Douze. 13 Treize. 14 Quatorze. 15 Quinze. 16 Seize. 17 Dix-sept. 18 Dix-huit. 19 Dix-neuf. 20 Vingt 21 Vingt et un. 22 Vingt-deux. 23 Vingt-trois. 24 Vingt-quatre. 25 Vingt-cinq. 26 Vingt-six. 27 Vingt-sept. 28 Vingt-huit. 29 Vingt-neuf. 30 Trente. 31 Trente et un. 32 Trente-deux.
Page 60 - Et à quoi servirait une longue vie, si l'on était pauvre ? dit la femme ; cela ne servirait qu'à être malheureux plus longtemps. En vérité, la fée aurait dû nous promettre de nous accorder une douzaine de dons, car il ya au moins une douzaine de choses dont j'aurais besoin. — Cela est vrai, dit le mari, mais prenons du temps.
Page 60 - Au même instant, ils virent dans leur chambre une très belle dame, qui leur dit : Je suis une fée, je vous promets de vous accorder les trois premières choses que vous souhaiterez; mais prenez-y garde, après avoir souhaité trois choses, je ne vous accorderai plus rien.
Page 67 - Notre Père qui êtes aux cieux ; que votre nom soit sanctifié ; que votre règne arrive ; que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour ; pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; et ne nous laissez pas succomber à la tentation ; mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Page 44 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon.
Page 61 - Dans le moment, l'homme s'aperçut qu'il était encore plus fou que sa femme, car, par ce second souhait, le boudin sauta au bout du nez de cette pauvre femme qui ne put jamais l'arracher. « Que je suis malheureuse ! s'écria-t-elle ; tu es un méchant d'avoir souhaité ce boudin au bout de mon nez.
Page 67 - Notre Père qui es aux cieux, ton nom soit sanctifié ; ton règne vienne ; ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel ; Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; pardonne-nous nos...
Page 62 - Peut-être aurions-nous été plus malheureux étant riches, que nous ne le sommes à présent. Croismoi, mon ami, ne souhaitons rien, et prenons les choses comme il plaira à Dieu de nous les envoyer. En attendant, sonpons avec notre boudin, puisqu'il ne nous reste que cela de nos souhaits.
Page 62 - En disant ces paroles, elle courut ouvrir la fenêtre ; et son mari, qui l'aimait, lui cria : — Arrête, ma chère femme ! je te donne la permission de souhaiter tout ce que tu voudras.
Page 62 - Je te jure, ma chère femme, que je n'y pensais pas, répondit le mari. Mais que ferons-nous ? Je vais souhaiter de grandes richesses, et je te ferai faire un étui d'or pour cacher ce boudin.

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