L'apparence du peuple n'était plus tumultueuse, curieuse, empressée; elle était menaçante. On ne rencontrait dans les rues que des figures effrayées ou farouches, des gens qui se glissaient le long des maisons, afin de n'être pas aperçus, ou qui... Revue de Bruxelles: Nouvelle Série - Page 921848Full view - About this book
| 1848 - 1000 pages
...récit de ce voyage en Amérique, refait en grande partie, a été orné de détail» intimes qne ue comportait pas la publication déjà connue. Un an...se glissaient le long des maisons, afin de n'être pas aperçus, ou qui rôdaient cherchant leur proie; des regards peureux et baissés se détournaient... | |
| 1848 - 968 pages
...partie, a été orné de détails intimes que ne comportait pas la publication déjà connue. Un ал après, en juin 1792, M. de Chateaubriand se retrouve...se glissaient le long des maisons, afin de n'être pas aperçus, ou qui rôdaient cherchant leur proie; des regards peureux et baissés se détournaient... | |
| 1848 - 802 pages
...leur auréole révolutionnaire : « Paris n'avait plus, en l792, la physionomie de l789 et de l790; ce n'était plus la Révolution naissante, c'était...voies égarées. L'apparence du peuple n'était plus tumuttueuse, curieuse, empressée; elle était menaçante. On ne rencontrait dans les rues que des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 388 pages
...iicnùrt (sic. CHANGEMENT DE PHYSIONOMIE DE PARIS. Paris n'avait plus , en 1792, la physionomie de i789 et de 1790 ; ce n'était plus la révolution naissante...se glissaient le long des maisons, afin de n'être pas aperçus, ou qui rôdaient cherchant leur proie : des regards peureux et baissés se détournaient... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 400 pages
...Revu en décembre 1846. Changement de physionomie de Paris. — Club des Cordetiers. — Marat. Paris n'avait plus, en 1792, la physionomie de 1789 et de...n'était plus tumultueuse, curieuse, empressée; elle m. i était menaçante. On ne rencontrait dans les rues que des figures effrayées ou farouches, des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 776 pages
...Changement de physionomie de Paris. — Club des Cordeliers. — Marat. Paris n'avait plus, en 1 792, la physionomie de 1789 et de 1790; ce n'était plus...n'était plus tumultueuse, curieuse, empressée; elle m. i était menaçante. On ne rencontrait dans les rues que des figures effrayées ou farouches, des... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1849 - 404 pages
...Revu eu décembre 1846. Changement de physionomie de Paris. — Club des Cordetiers. — Marat. Paris n'avait plus, en 1792, la physionomie de 1789 et de...marchant ivre à ses destins, au travers des abîmes, par dos voies égarées. L'apparence du peuple n'était plus tumultueuse, curieuse, empressée; elle ni.... | |
| Louis de Loménie - 1879 - 468 pages
...Paris, dit M. de Chateaubriand, n'avait plus, en 1792, la physionomie de 1789 et de 1790; ce'n'était plus la Révolution naissante; c'était un peuple...se glissaient le long des maisons, afin de n'être pas aperçus, ou qui rôdaient cherchant leur proie ; des regards peureux et baissés se détournaient... | |
| Louis de Loménie - 1879 - 462 pages
...Paris, dit M. de Chateaubriand, n'avait plus, en 1792, la physionomie de 1789 et de 1790; ce Vêtait plus la Révolution naissante; c'était un peuple...était menaçante. On ne rencontrait dans les rues que CHATEAUBRIAND ET SES MÉMOIRES 151 des figures effrayées ou farouches, des gens qui se glissaient... | |
| Agénor Bardoux - 1893 - 254 pages
...partait pour Paris avec sa femme et ses sœurs Lucile et Julie. La populace n'était plus seulement tumultueuse , curieuse, empressée, elle était menaçante...les rues que des figures effrayées ou farouches. La variété des costumes avait cessé ; le vieux monde s'effaçait devant un nouveau. Chateaubriand... | |
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