| Plato - 1822 - 388 pages
...jambes ; et , portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glaçait et se raidissait; et, le touchant lui-même, il nous dit que, dès que...Alors se découvrant, car il était couvert: Criton, dit-il, et ce furent ses dernières paroles, nous devons un coq à Esculape * ; n'oublie pas d'acquitter... | |
| Plato - 1822 - 384 pages
...jambes ; et . portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glaçait et se raidissait; et , le touchant lui-même, il nous dit que, dès...glacé. Alors se découvrant, car il était couvert : Cri ton , dit-il , et ce furent ses dernières paroles, nous devons un coq à Esculape*; n'oublie... | |
| 1823 - 434 pages
...jambes ; et , portant ses mains plus haut, il nous Et voir que le corps se glaçoit et se roidissoit; et le touchant lui-même, il nous dit que, dès que le froid gagneroit le cœur, alors Socrate nous quitteroif. Déjà lout le bas-ventre étoit glacé. Alors Socrate... | |
| Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 pages
...et, portant ses mains plus haut, il nous fit voir que le corps se glacait et se roidissait.; «t , le touchant lui-même , il nous dit que, dès que...Alors se découvrant, car il était couvert : Criton, dit-il, et ce furent ses dernières paroles , nous devons un coq à Esculape; n'oublie pas d'acquitter... | |
| Alphonse de Lamartine - 1836 - 320 pages
...donc en repos, et montrez plus de fermeté. Ces mots nous firent rougir, et nous retînmes nos pleurs. Cependant Socrate, qui se promenait, dit qu'il sentait...Alors se découvrant, car il était couvert : Criton, dit-il, et ce furent ses dernières paroles, nous devons un coq à Esculape ; n'oublie pas d'acquitter... | |
| Plato - 1846 - 394 pages
...plus haut, il nous fit voir que le corps se glaçait et se raidissait ; et , le touchant lui-méme, il nous dit que, dès que le froid gagnerait le cœur,...glacé. Alors se découvrant, car il était couvert : Gril on , dit-il , et ce furent ses dernières paroles, nous devons un coq à Esculape * ; n'oubh'e... | |
| Charles Auguste Désiré Filon - 1854 - 488 pages
...roidissait ; et, le touchant lui-même, il nous dit qu'aussitôt que le froid gagnerait le cœur, Soerate nous quitterait. Déjà tout le bas-ventre était...se découvrant, car il était couvert : « Criton, » dit-il, et ce furent ses dernières paroles, « nous devons un coq à Ksculape; n'oublie pas d'acquitter... | |
| Charles Auguste Désiré Filon - 1854 - 478 pages
...se roidissait ; et, le touchant lui-même, il nous dit qu'aussitôt que le froid gagnerait le cœur, Socrate nous quitterait. Déjà tout le bas-ventre...glacé. Alors se découvrant, car il était couvert : « Ciïton, M dit-il, et ce furent ses dernières paroles, « nous devons un coq à Esculape; n'oublie... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 408 pages
...lui serra ensuite les jambes; et portant ses mains plus haut il nous fit voir que le corps se gelait et se roidissait : et, le touchant luimême, il nous dit que, dès que le froid gagnerait le cœur, Socrate nous quitterait. Déjà tout le bas-ventre était glacé. Alors se découvrant, car il était... | |
| Alphonse de Lamartine - 1860 - 556 pages
...en repos, et montrez plus de fermeté. » Ces mots nous firent rougir, et nous retînmes nos pleurs. Cependant Socrate, qui se promenait, dit qu'il sentait...nous dit que, dès que le froid gagnerait le cœur, Socratenous quitterait. Déjà tout le bas-ventre était glacé. Alors se découvrant, car il était... | |
| |