Dictionnaire françois de la langue oratoire et poétique: suivi d'un vocabulaire de tous les mots qui appartiennent au langage vulgaire, Volume 3Gide fils, 1822 |
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Common terms and phrases
action affaire appelle avoit BOIL BOILEAU Boss BOSSUET chose ciel cœur daus DICT Dien Dieu dire discours douleur enfans ennemis esprit étoient étoit étre FLECH FLICH foible fortune François de Paule gloire grace J'ai Jésus-Christ jour justice L'AC L'ACAD l'ame l'esprit laisse long-temps Madame mains maitre MASS MASSILLON mème ment monde Montausier mort parlant participe passer passions père personne peuples piété prince prince de Condé pronom pronom personnel qu'un homme quelquefois RACINE raison rang ravi reconnoissance regards règles reine religion rendre repos respect reste rien rois Rouss ruine s'emploie s'est sacrée sage sagesse saint Louis sais sang secret Seigneur sens sent sentimens sert servir seul siècle signifie figurément soin sort souf souffrir soutenir souvent souverain style familier substantif sujet superbe Tellier termes terre tion tirer tomber touche tour traits trève triste trone trouble troupes Turenne vaisseau vérité vertu VOLT Voyez yeux
Popular passages
Page 2024 - Ah ! si quelques générations, que dis-je? si quelques années après votre mort, vous reveniez, hommes oubliés, au milieu du monde, vous vous hâteriez de rentrer dans vos tombeaux, pour ne...
Page 1736 - Encore une fois tout est vain en l'homme si nous regardons le cours de sa vie mortelle ; mais tout est précieux, tout est important, si nous contemplons le terme où elle aboutit, et le compte qu'il en faut rendre.
Page 1677 - ... de là sur les objets les plus indifférents : mais si vous ne portez pas au dedans la source de la joie véritable, c'est-à-dire la paix de la conscience et l'innocence du cœur, en vain vous la cherchez au dehors.
Page 1656 - Ne sont-ils pas, comme vous, l'ouvrage de ses mains et rachetés du même prix ? n'êtesvous pas sortis de la même boue? n'êtes-vous pas peut-être chargés de plus de crimes ? le sang dont vous êtes issus, quoique plus illustre aux yeux des hommes, ne coule-t-il pas de la même source empoisonnée qui a infecté tout le genre humain...
Page 1765 - qui l'honorait de sa bienveillance, les mécontentements qu'il avait reçus du ministre '» ne purent jamais le toucher. Il surmonta ces deux tentations délicates, et lui seul peut-être a la gloire d'avoir résisté tout d'un coup, pour le service de son maître, à la force de l'amitié et au plaisir de la vengeance; il gagna la noblesse déjà presque...
Page 1678 - Villes que nos ennemis s'étaient déjà partagées, vous êtes encore dans l'enceinte de notre empire. Provinces qu'ils avaient déjà ravagées dans le désir et dans la pensée ' , vous avez encore recueilli vos moissons. Vous durez encore , places que l'art et la nature ont fortifiées, et qu'ils avaient dessein de démolir; et vous n'avez tremblé que sous des projets frivoles d'un vainqueur en idée, qui comptait le nombre de nos soldats, et qui ne songeait pas à la sagesse de leur capitaine.
Page 2008 - II n'est plus permis de se servir de température pour temperament, ny d'imiter en cela M. de Malherbe, qui a pu estre trompé, ainsi qu'Amiot, par le rapport que ces deux mots ont ensemble dans les premieres syllabes.
Page 1997 - ... livre de vie ! Que les rois de la terre vous honorent; il vous importe seulement que Dieu vous reçoive dans ses tabernacles éternels. Que toutes les langues des hommes vous louent: malheur à vous , si vous ne louez Dieu dans le ciel avec ses anges ! Ne perdez pas ces moments de vie, qui peuvent vous valoir une éternité bienheureuse.
Page 1909 - ... il ya aussi un chemin étroit qui resserre l'esprit dans la créance de l'Église ; et qu'enfin Dieu ne demande pas aux personnes de son sexe une sublime raison , ni une science fastueuse ; mais une dévotion tendre et une foi simple , accompagnée d'un humble silence. N'est-ce pas cette foi qui la conduisit et la régla -\ dans tous les offices de la vie chrétienne ? Quel ordre et quelle attention dans ses prières ! Elle s'y prépare par le recueillement, s'y soutient par la ferveur, s'y perfectionne...
Page 1904 - Seigneur, disait-elle , ce que vous avez dit dans « votre Évangile, qu'après avoir travaillé selon nos forces, « nous sommes encore des serviteurs inutiles. Vous savez « mieux que nous en quoi consiste votre gloire : toute la nô« tre est d'être soumis à vos volontés.