Histoire des institutions de Moise et du peuple hébren, Volume 1Michel Lévy frères, 1862 - 544 pages |
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anciens appelé arrive aurait avaient avant bientôt bonne caractère cause changer chap CHAPITRE chefs choses circonstances cité citoyens conditions conseil considéré contraire d'après d'autres d'Israël dernier devant Dieu différence dire doit donner effet enfants Enfin esprit établi étrangers Exod faisait femme fils fonctions fond force forme foule générale génie Grèce guerre haut Hébreux hommes institutions intérêt Israël j'ai Jéhovah Jérusalem Josèphe jour Juda juges Juifs justice l'ancien l'Égypte l'esprit l'état l'Éternel l'histoire l'homme l'ordre laisse législateur liberté lieu livre loin lois lui-même mains manière ment Moïse morale mort moyen n'était nation nature naturelle nombre nouvelle parler paroles particulier passer pays peine pensée père personne peuple populations porter pouvait première présenter prince principaux prophètes propre publique qu'un question raison rapport religieuse reste rien rois s'il sacré sacrificateurs sentiment sera servir seul siècle sorte suivant sujet surtout temple terre texte tion traité tribus trouve vérité villes yeux
Popular passages
Page 263 - Ah ! méchante, dit-il, je m'en vais faire une œuvre Agréable à tout l'univers ! » A ces mots l'animal pervers (C'est le serpent que je veux dire, Et non l'homme ; on pourroit aisément s'y tromper...
Page 263 - Sans herbe : s'il voulait encor me laisser paître ! Mais je suis attachée ; et si j'eusse eu pour maître Un serpent, eût-il su jamais pousser si loin L'ingratitude? Adieu: j'ai dit ce que je pense.
Page 39 - Pour qu'un peuple naissant pût goûter les saines maximes de la politique et suivre les règles fondamentales de la raison d'état, il faudrait que l'effet pût devenir la cause ; que l'esprit social, qui doit être l'ouvrage de l'institution, présidât à l'institution même ; et que les hommes fussent avant les lois ce qu'ils doivent devenir par elles.
Page 487 - , entre mille roseaux, Le Rhin tranquille, et fier du progrès de ses eaux. Appuyé d'une main sur son urne penchante, Dormait au bruit flatteur de son onde naissante, Lorsqu'un cri, tout à coup suivi de mille cris, Vient d'un calme si doux retirer ses esprits.
Page 145 - Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même; Qu'il doit immoler tout à sa...
Page 63 - Tout homme peut graver des tables de pierre, ou acheter un oracle , ou feindre un secret commerce avec quelque divinité , ou dresser un oiseau pour lui parler à l'oreille, ou trouver d'autres moyens grossiers d'en imposer au peuple.
Page 387 - Ne pensez pas que je sois venu apporter la paix sur la terre : je ne suis pas venu apporter la paix, mais l'épée.
Page 104 - Il ya une troisième sorte de Religion plus bizarre, qui donnant aux hommes deux législations, deux chefs, deux patries, les soumet à des devoirs contradictoires et les empêche de pouvoir être à la fois dévots et Citoyens. Telle est la Religion des Lamas, telle est celle des Japonais, tel est le christianisme Romain. On peut appeler celle-ci la religion du Prêtre.
Page 387 - Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des deux. Je vous le dis encore il est plus facile à un chameau de passer par le trou d'une aiguille qu'à un riche d'entrer dans le royaume de Dieu.
Page 39 - Cette raison sublime, qui s'élève au-dessus de la portée des hommes vulgaires, est celle dont le législateur met les décisions dans la bouche des immortels, pour entraîner par l'autorité divine ceux que ne pourrait ébranler la prudence humaine...